Jo Witek a à son actif de nombreux romans et albums jeunesse. Elle a accepté de nous en dire plus sur les personnages et la genèse de son roman J’ai 14 ans et ce n’est pas une bonne nouvelle.
Des ados... déconnectés
Jo Witek
Alice Guy
Les noms des frères Lumière et de Georges Méliès sont bien connus du public : tout le monde sait combien l’histoire du cinéma doit à ces hommes. Ce qu’on ignore souvent, c’est qu’Alice Guy, une française, a été à leurs côtés et a activement participé à la création de l’industrie cinématographique. Méconnue aujourd’hui, Alice Guy (1873-1968) est pourtant la première réalisatrice de films de fiction.
Zoom sur ces ados à contre-courant qui refusent d’être sur les réseaux sociaux
Il n’y a pas d’unité chez les digital natives, c’est-à-dire les jeunes nés à l’ère du web. Ce ne sont pas tous des as en informatique et ils ne savent pas tous surfer sur le web en toute sécurité. Les compétences numériques des digital natives sont variables, de même que leurs goûts. Si la plupart se servent des réseaux sociaux, tous ne sont pas attirés par ce mode de communication de façon uniforme. En effet, certains adolescents, même s’ils sont très peu nombreux, sont même totalement absents des réseaux sociaux. Pourquoi ce choix ? Et comment celui-ci est-il vécu par leur entourage dans nos sociétés hyperconnectées ?
Pourquoi certains ados ne souhaitent pas être sur les réseaux sociaux ?
Il n’existe pas de profil type d’ado déconnecté-e même si cela s’avère plus facile dans une famille elle-même peu connectée. En outre, certains n’ont pas choisi de ne pas être connecté-e-s et le sont par la force des choses soit parce que leurs parents refusent qu’ils-elles aient un smartphone et/ou soient sur un réseau social, soit parce qu’ils n’ont pas les moyens financiers de leur payer un smartphone ou un ordinateur. Pour ceux ou celles qui l’ont choisi, les raisons de leur absence des réseaux sociaux sont multiples.
La “digital detox ” en vogue
Certains adultes aussi ressentent le besoin de se déconnecter une journée, un week-end ou plus longtemps. La « digital detox » est très en vogue notamment parmi les cadres de la Silicon Valley, qui restreignent également l’usage des écrans fait par leurs enfants (les envoyant même dans des écoles sans écrans).
Un mème, kezako ?
Vous avez sûrement déjà vu ces détournements le plus souvent humoristiques de photos, vidéos, tableaux..., devenus viraux sur la toile. Cette imitation retravaillée ou sous-titrée différemment d’une image originelle se nomme « mème » (une image extraite d’un film et détournée de son sens premier à l’aide d’un court dialogue par exemple). On vous en dit plus sur cet incontournable du web.
Gilles de Rais, aux origines du mythe de Barbe-Bleue
Gilles de Rais (ou de Retz) est un puissant seigneur du Moyen Âge. Il se battit contre les Anglais aux côtés de Jeanne d’Arc. Mais au-delà de ses faits d’armes, il est connu pour être l’un des plus cruels pédophiles et assassins de l’histoire.
Ma vie en droit : Entreprise en péril... (suite)
Carole et son mentor Michel ont tout donné pour sauver l’entreprise mais ils se rendent compte que l’état de santé de celle-ci ne s’améliore pas. C’est donc le cœur lourd qu’ils retournent voir Eno, le conseiller de la chambre du commerce et de l’industrie, pour s’informer sur ce qui peut arriver si le tribunal décide que la situation de l’entreprise est grave et risque de ne pas pouvoir être redressée.
Rencontre avec... Nathalie Albert-Moretti
Interview réalisée dans le cadre de la classe presse 2020-2021, en classe de 3e5 au collège Carnot à Dijon
Pour ou contre l’anonymat sur les réseaux sociaux
Les réseaux sociaux prennent de plus en plus de place dans nos vies. Nous y passons 2 h 25 minutes par jour en moyenne selon l’étude Digital Report 2021 publiée par We Are Social et Hootsuite. C’est devenu, depuis les années 2000, un nouvel espace ouvert à l’infini pour se divertir, s’informer, partager, créer des liens, même à l’autre bout du monde. Un nouvel espace d’expression, où toutes les opinions se confrontent, mais où le jugement peut être sévère. Ces dernières années, la haine en ligne est un fléau qui n’a cessé d’augmenter. D’où le débat récurrent sur l’anonymat sur les réseaux sociaux qui permet de s’exprimer librement mais aussi de déverser sa haine incognito...