Son positionnement dans l'Histoire, les marges !
Organisations artistiques d’ici et d’ailleurs
Inter, art actuel
Dans le laboratoire, après
Ruses et procédures
Les centres d’artistes autogérés
Un espace politique
Le portail de tous les dangers
Le modèle des centres d'artistes à l'ère des valeurs néolibérales
Des réseaux élargis au quartier des spectacles centraliste
Les trois quarts des centres d’artistes autogérés du RCAAQ s’activent en dehors de la métropole. Les formes de réseautage y sont courantes, constantes, nombreuses. À l’automne 2014, plusieurs événements initiés par des centres en région furent explicites de cette trame d’art actuel mise en réseau. Pour ma part, j’ai suivi la rive sud de Magtagoet, le « Grand chemin qui marche », ce fleuve Saint-Laurent, de Carleton-sur-Mer jusqu’à Lévis, en passant par Matane. J’ai ensuite traversé le fleuve pour Québec.
Dû Don Dû
Matane, le 20 octobre 2014 — « Peut-être devrons-nous choisir entre le seuil institutionnel et la rue ? Entre la reconnaissance et une certaine guérilla ? Sinon le fonctionnalisme seul déterminera notre avenir. » Ce vieux texte (voir la version originale page suivante) a été écrit au coeur du débat sur la reconnaissance du statut d’artiste et de ses droits. À la mi-octobre 2014, nous en voyons le risible avec les conséquences de la faillite de La Courte Échelle. C’est pourtant mieux en littérature, la perception des droits ! Et ne parlons pas des impairs de La Fabrique culturelle, financée par ailleurs par le CALQ ! Ce vieux texte date. Il date entre autres du début des années quatre-vingt-dix. Son titre est toujours juste, mais la réalité semble le contredire, tellement nous sommes soumis. Muets. Non pas désorganisés, mais trop et mal organisés.
Les centres d’artistes autogérés
Font-ils encore de l'autogestion ?
Paradoxe, interrogation, exception ?
L’approche française des arts et de la création est toujours historique et singulière, allant parfois même jusqu’à la revendication d’une exception. Y a-t-il pour autant un « système français » ? D’une exception culturelle (un peu exclusive) à une diversité culturelle (qui reconnaît les différentes cultures), face à un monde complexifié, à un marché mondialisé, à des régimes de reconnaissance inédits, l’art et la création, en France, restent des « composantes » de la culture.
L’organisation artistique autonome
À partir de 1968, en parfaite harmonie avec les luttes des étudiants et des ouvriers qui ont profondément marqué cette période, de nouvelles formes d’agrégation se propagent dans toutes les régions italiennes. Leur principale caractéristique est un engagement sociopolitique renouvelé du tout. Des groupes autonomes, autogérés, et beaucoup d’associations libres se développent principalement dans les plus grandes villes, celles les plus densément peuplées.
Systèmes artistiques paradoxaux
Ecritures Transatlantiques
Autour des créations audio-poétiques rhizome-transcultures.
Elgapon.Espacio
Entretien avec Jorge Baldeón et Lorena Lo Peña
Panorama institutionnel de la performance
Pour parler de la relation entre les institutions culturelles et la performance au Brésil, il est inévitable d’évoquer certaines données historiques pertinentes, un contexte qui contribue à la compréhension des contradictions et des innovations, parfois surprenantes, qui composent le paysage de l’art moderne et de l’art contemporain brésiliens.
Ravy 2014
Rencontres d'arts visuels de Yaoundé
L’altermodernité
Mobilité artistique et culture vectorielle dans l'altermodernité