Lyon doit beaucoup à L’Italie, notamment ses façades colorées et ses hôtels particuliers Renaissance. Juste retour des choses, faisons comme Frédéric François, vivons à l’italienne !
Les mystères de l’Hôtel-Dieu
Lyon à l’italienne
Aux portes du Palais
Vous n’avez plus de resto préféré sur Lyon ? Le Palégrié, nouveau venu sans façon met la manière pour rendre une cuisine inventive, variée tous les jours, dans une ambiance conviviale avec l’Opinel à droite de l’assiette. Miam.
L’hôtel-Dieu
C’est le chef-d’oeuvre de l’architecte Soufflot, et un des bâtiments auquel les Lyonnais sont le plus attachés. L’Hôtel-Dieu a pourtant connu une histoire rocambolesque depuis le XIIe siècle, avant de devenir le plus grand projet de réhabilitation de France. Comment s’est construit l’Hôtel-Dieu? À quoi ressemble-t-il aujourd’hui alors que vous ne pouvez plus y entrer ? À quoi va-t-il ressembler dans le futur projet du « Grand Hôtel-Dieu » ? Reportage dans les coulisses d’un des plus beaux édifices lyonnais. —
Ces objets qui nous hantent
L’histoire du design est entrée dans tous les habitats, existe en filigrane dans tous nos actes quotidiens. Mais savez-vous que de nombreux objets qui nous entourent, inventés il y a des années par des créateurs innovants, reviennent nous hanter ? Ils réapparaissent sous de nouvelles formes, avec d’autres fonctions, prennent de nouvelles couleurs, mais c’est le même esprit qui revient frapper trois coups sous la table. C’est l’effet vintage. Le vintage est au départ un terme destiné à désigner des vêtements ou des objets authentiques du passé que des passionnés portent ou utilisent toujours, de la robe à fleurs Cacharel au scooter Vespa. Il y a de la nostalgie, mais aussi la reconnaissance de créateurs géniaux qui auraient pu tomber dans l’oubli. Et quand des créateurs contemporains les ressuscitent, quand le présent rencontre le vintage, c’est carrément réjouissant.
Cité du design à Saint-Etienne
Il est le directeur chanceux d’un lieu unique en France, la Cité du design à Saint-Étienne. À rebours des clichés esthétiques, Ludovic Noël défend avant tout à travers le design une façon de redéfinir les pratiques sociales et les relations entre les gens, notamment dans les entreprises. Entretien.
Le plaisir de la chine
Avec le retour des beaux jours, voici revenu le temps des brocantes. À Lyon, les puces du Canal sont le plus haut lieu de la chine. L’endroit où tout se passe le dimanche matin. De quoi acheter design sans se ruiner. Reportage à la rencontre des brocanteurs.
Roller derby
Apparu il y a deux ans en France, ce sport encore méconnu rassemble de plus en plus d’adeptes. À Lyon, l’équipe des Grriottes Girrls ne cesse d’être sollicitée par la gent féminine, mais peine à répondre à la demande.
Turkish delights
Ville unique à l’équilibre parfait entre l’Europe et l’Asie, Istanbul est maintenant accessible depuis Saint-Etienne à des prix défiant toute concurrence. De quoi goûter, le temps d’un week-end, aux charmes de l’Orient dans un mode de vie à l’occidentale, traverser le Bosphore pour rêver aux sultans, derviches et autres légendes stambouliotes. Une merveille de couleurs et d’épices.
Truphémus
Il déteste le terme de « natures mortes ». Voilà plus de 80 ans qu’il peint ce qu’il appelle des « vies silencieuses », portraits au visage caché, cafés lyonnais ou paysages des Cévennes où il passe l’été. À l’occasion de la vaste exposition que lui consacre l’Hôtel de Région, Jacques Truphémus nous a reçu dans son atelier lyonnais qu’il habite depuis 60 ans pour un entretien exclusif. De plus en plus libre dans les couleurs comme dans les formes, il évoque avec ses mots simples et sa gentillesse légendaire, non dénuée d’humour, son attachement à Lyon et son amour de plus en plus grand pour la peinture. Rencontre.
Chiharu Shiota
Pour l’inauguration de son espace permanent dévolu à l’art contemporain, la sucrière invite l’artiste japonaise Chiharu Shiota à déployer son étrange univers immersif, fait ici de robes et de fils noirs.
Couleurs express
Le Musée de Grenoble propose, en 120 oeuvres, une rétrospective exceptionnelle consacrée au mouvement d’avant-garde allemand Die Brücke, première flamme frondeuse et éclatante de ce que l’on nommera plus tard l’expressionnisme.
Plein les mirettes
Le festival Hallucinations collectives revient pour une cinquième édition plus éclectique que jamais, avec tout le cinéma que vous avez toujours voulu voir sans jamais oser le demander. action !
Couler de plaisir
Titanic ressort en 3 D, l’occasion d’une déclaration d’amoûûûr à rabattre le caquet à Céline Dion pour défendre un des plus beaux films de James Cameron.
Humain trop humain
L’humanisme vu par Jean Renoir, ce n’est pas seulement se gargariser d’aimer les gens. C’est aussi avoir une vision sans concession des rapports de classe et un humour massacrant, dans un des plus grands classiques du cinéma français, La Grande Illusion, qui ressort en copie restaurée.
Béjart
En quatre pièces, le Ballet de Lausanne donne à voir l’aspect le plus exigeant et inventif de l’oeuvre de Béjart, en même temps qu’à entendre quelques morceaux superbes de l’histoire récente de la musique de Bartók à Boulez. Un programme exceptionnel.