Fiction et autobiographie
Colette
Le “mentir vrai” chez Colette
La lice amoureuse
Homme, « cher ennemi », ‹c fronton fidèle à renvoyer tout ce que nous te lançons, interlocuteur-né ». Au cœur de la relation amoureuse, foyer lumineux confuse et considérable », une conscience féminine sans fin s'interroge et interpelle l'autre, le rival énigmatique, en ces images d'elle qu'il lui renvoie auréolées de son Mystère féminin.
Willy et Colette Willy
En 1902, chez Ollendorff, paraît la cinquante-neuvième édition de Claudine à l'école. On fête l'auteur, le seul si- gnataire : Willy. Et, sur la page de garde, on annonce, «du même auteur », la suite : Claudine à Paris.
Willy, Sido
Une géographie morale
Le corps de Sido
Dans le temps de ma grande jeunesse, il m'est arrivé d'espérer que je deviendrai «quelqu'un •· Si j'avais eu le courage de formuler mon espoir tout entier, j'aurais dit • quelqu'un d'autre •· Mais j'y ai vite renoncé. Je n'ai jamais pu devenir quelqu'un d'autre.
La chimère maternelle et le sceau paternel
La mère, la chatte
Trois aspects de la gourmandise chez Colette
Colette et Ravel
Les vendredis de Madame de Saint-Marceaux... C'est chez Madame de Saint-Marceaux, c'est à un de ces vendredis où se rencontraient musiciens, peintres, poètes, romanciers, que Colette fit la connaissance de Maurice Ravel.
Colette au cinéma
Compléments au recueil de 1975, avec des lettres inédites de Colette
Yannick Bellon
Le souvenir que je garde de Colette
Jacques Demy
Et "la naissance du jour"