D’aucuns seront sans doute passés à côté, auront traversé sans même y prêter attention le petit salon qui tenait lieu d’installation de Christopher Kulendran Thomas à la dernière biennale de Berlin.
Jean-Pascal Flavien
Christopher Kulendran Thomas
Jean-Pascal Flavien
Depuis une quinzaine d’années, Jean-Pascal Flavien construit de drôles de maisons un peu partout dans le monde, de Rio à Berlin, de Pougues-les-Eaux à Monaco. S’il fallait se contenter d’une définition sommaire, ses architectures pourraient être définies comme des maisons-sculptures ou des sculptures habitables, et c’est vrai qu’elles possèdent toutes les fonctionnalités qui caractérisent un habitat, même si les conditions de cet habitat apparaissent plutôt spartiates : un toit, des murs, quelques meubles, une salle d’eau (pour référer à un lexique un peu désuet mais qui donne bien le ton minimal qui caractérise ce poste au sein des divers projets de l’artiste).
François Piron
Dans un monde de l’art globalisé dont on peut faire le tour en 80 foires, la biennale s’est imposée comme l’exercice curatorial de prédilection, où se donnent à lire les grands thèmes théoriques du moment.
Béatrice Balcou
Portrait de l’artiste en coureur de fond : lenteur, silence et sensualité
Eva Barto
Indices de spéculation