« Poussy Draama, artiste multimédia, performeuse, activiste queer, féministe et alter-narratrice. » Vous n’avez pas tout compris ? C’est normal, Poussy Draama refuse de trop clarifier son action artistique et activiste… Tentative d’explications, penseurs mainstream s’abstenir.
Le trou des autres
Draamaturgie
Capital de la culture
Quel pari fou que d’adapter au théâtre une oeuvre comme Le Capital de Karl Marx. Sylvain Creuzevault nous démontre pourtant encore une fois qu’une des forces de l’art réside dans sa capacité à s’approprier un sujet complexe pour nous questionner sur le fond comme sur la forme. Quitte à nous perdre dans une joyeuse confusion.
Fleurs de printemps
L’été approche à grands pas, et avec lui la saison des prestigieux festivals de musiques dites actuelles. Difficile de se faire une place au soleil quand la plage est pleine, alors certains s’exposent aux premiers rayons en s’affichant au printemps. Tour d’horizon des réjouissances imminentes.
L’oeil dans la rétro
A l’occasion des vingt ans du [mac], Thierry Ollat revisite la collection avec une exposition rétrospective à la hauteur de l’événement : historique, et pour cause...
Goûts de lux
Si Van Gogh a fait d’Arles l’un de ses sujets de prédilection, la commune ne lui avait pas, jusqu’ici, rendu l’hommage que le peintre méritait. C’est désormais chose faite avec la Fondation portant son nom, inaugurée voilà deux mois.
Ça vient de la rue
A force de vouloir entrer en galerie, le street art et le graffiti vont-il finir par déserter les murs de la ville ? Selon ses défenseurs, les cimaises des lieux d’expositions permettent au contraire un véritable enrichissement, offrant une nouvelle facette de ce qu’on appelle aujourd’hui l’art contemporain urbain. Tour d’horizon des galeries marseillaises spécialisées.
La mort de l’art
Trois ans après son ouverture, Didier Gourvennec Ogor tire la sonnette d’alarme en attirant l’attention sur la situation difficile des galeries privées à Marseille qui ne trouvent pas leur public d’acheteurs et de collectionneurs. L’exposition Happy Hours replace les choses de l’art dans un contexte économique, mais dans la bonne humeur et sans aigreur.