L’oreille qui a poussé sur un bras

Témoignage

Topo fait son numéro

Dans l’obscurité de la salle de cinéma, on tremble ou on crie à l’unisson. On passe la moitié du film abrité dans l’épaule de son voisin, on hurle de terreur toutes les trois minutes et pourtant, à la sortie, on est hilare et joyeux, on en redemande! Quelle est cette sorcellerie qui nous fait adorer les cauchemars des cinéastes, les têtes découpées des acteurs ou les sombres méandres de l’esprit tortueux de Stephen King ?

Cash sexe

Banquiers d’affaires, collectionneurs d’art ou promoteurs immobiliers, ils sont presque toujours des héritiers. Ils vivent dans un monde ultra- privilégié et sont, depuis quarante ans, le sujet de la photographe américaine Tina Barney. Fine observatrice des rituels familiaux, elle capture l’intimité de ces grandes familles WASP (White Anglo- Saxon Protestant), qu’elle connaît bien. Elle en vient.

Pliées en quatre

Quand on pense au tourisme, on pense aux vacances. On a tout de suite l’esprit plus léger, on rêve. Pour que ces rêves ne deviennent pas le cauchemar de la planète, il faudrait en imaginer d’autres.

Symbole siliconé et triomphant des années 1990, l’actrice américaine a bien changé : à 57 ans, elle se réapproprie son histoire et son corps.

C'est quoi ce travail ?

Musique et oreilles, électronique et robotique, Japon et reste du monde, rapport au public… Dans nos pages, deux univers créatifs très différents, Stelarc (p. 104) et Justice (p. 112), s’offrent un dialogue inattendu.