Voici le troisième volet de notre série sur les performances comparées des humains et des animaux. A la lecture des deux précédents épisodes, nous avions compris que nous étions archi-dépassés dans les épreuves de sprint et de saut. Heureusement, il reste l’endurance pour sauver l’honneur.
Quelle est la dose idéale de sport ?
La revanche !
Rwanda, l’autre Qatar
Le Qatar mise beaucoup sur le sport pour obtenir plus de reconnaissance dans les relations internationales. Lors du Mondial de foot 2022, on lui en a fait le reproche. En Afrique, un autre pays applique cette politique sans susciter la même réprobation: le Rwanda!
La révolte des affamés
Cate Campbell dénonce le supplice de la balance
Aux bons conseils de l’OMS
Très régulièrement des recommandations sont publiées à l’attention du grand public pour déterminer la dose nécessaire d’activité physique par jour ou par semaine pour assurer le maintien d’une bonne santé. Pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS), il faut ainsi faire 150 minutes de sport par semaine. Pourquoi ne faut-il pas trop s’y fier?
Le ondes qui guérissent
Les vibrations peuvent-elles être utilisées à des fins thérapeutiques? C’est le pari formulé par un groupe de chercheurs persuadés qu’on peut faire interagir ces ondes avec nos mécanismes biologiques les plus intimes.
Spiruline
L’immense majorité des articles consacrés à la spiruline disent beaucoup de bien de cette petite micro-algue bleue-verte et soulignent notamment sa richesse en protéines qui fait d’elle une bonne alternative à la viande. Attention seulement à bien l’utiliser et, surtout, à choisir son fournisseur avec soin.
Le haka
On ignore beaucoup de choses concernant les origines du haka. On sait seulement que cette danse rituelle des rugbymen néo-zélandais remonte aux années 1820, ce qui lui fait 200 ans d’existence.
Portraits
En rugby, les avants ont une formule pour ne pas trop en dire de ce qui se passe à l’intérieur de la mêlée: «ce qui se fait dans la mêlée reste dans la mêlée». En extrapolant un peu, on réalise que le rugby tout entier est contenu dans cette expression. Ainsi, les émotions qu’il génère sont difficiles à comprendre pour ceux qui n’ont jamais enfilé la vareuse. Après leur carrière, plusieurs joueurs se sont donc reconvertis dans un rôle de «passeur» afin de faire comprendre cette passion au grand public et peut-être même de la lui faire partager.