Un regard et quelques réflexions
Poésie italienne d’aujourd’hui
Poésie italienne d’aujourd’hui
Solitudes
Chacun pense que c’est ainsi que Dieu le voit, seul dans l’écrin de la création, visible depuis l’infini et objet de toutes les attentions. Et François Desléards a, sur chacun quand il le photographie, l’oeil de Dieu. Celui qu’il surprend dans ses activités ludiques, sa marche méditative, son repos, il l’extrait du nombre.
Patrick Deville Histoire(s) parallèle(s)
En épigraphe à L’Invitation, récit d’un voyage en URSS, Claude Simon rappelle la formule de Bismarck selon laquelle « le seul facteur permanent de l’Histoire, c’est la géographie ». La phrase semble frappée au bon coin de l’évidence. Mais en est-on si sûr ?
Le roman d’aventure(s) selon Patrick Deville
Prononcer le terme d’« aventure », c’est énoncer une certaine essence du romanesque, ou pour le moins réveiller une certaine mémoire du roman, que les récits de Patrick Deville publiés au Seuil se plaisent à tutoyer, comme ils jouaient à la rudoyer dans ceux édités chez Minuit.
L’endroit le plus triste du monde
C’était un soir fleuri de colombes mystiques. Antonin Artaud
Mariage
« Mariage d’amour, mariage d’argent J’ai vu se marier toutes sortes de gens Des gens de basse source et des grands de la terre Des prétendus coiffeurs, des soi-disant notaires » Georges Brassens, La Marche nuptiale
La petite fille sur la photo
Il a téléphoné à Jacqueline, sa cousine de la Sarthe. Et, tout en parlant de choses diverses, elle lui a dit que Simone et ses parents étaient venus au mariage de ses propres parents en 1923 et qu’ils étaient sur la photo. Il lui a demandé si elle pouvait en faire une photocopie pour lui. Deux jours après, dans son courrier, il a trouvé la photo de mariage. R. Verdier, photographe, place de l’Église, Vibraye.