Sondra Radvanovsky

Yannis Kokkos s’expose au CNCS

par Thierry Guyenne

Sondra Radvanovsky

par François Lesueur

Lors de son passage en France pour ses débuts dans Il pirata, au Palais Garnier, finalement annulés en raison de la grève des personnels de l’Opéra National de Paris, la soprano américano- canadienne avait accepté de répondre à nos questions, en tête à tête, le 18 décembre 2019. L’entretien devait être publié dans Opéra Magazine, en juillet-août 2020, pour annoncer l’Aida du Festival «Castell de Peralada», à son tour supprimée, cette fois pour cause de Covid-19. Après un premier confinement passé dans sa demeure au Canada, en pleine nature, longue période de doute et d’espoir pendant laquelle Sondra Radvanovsky a été très présente sur Instagram, le retour sur scène a eu lieu en Europe, en septembre dernier, à Barcelone et La Corogne. Avant un automne et un début d’hiver chaotiques, marqués par d’autres annulations... L’Opéra National de Paris maintenant, jusqu’à nouvel ordre, sa nouvelle production d’Aida, à partir du 12 février, avec sa somptueuse distribution – Sondra Radvanovsky sera entourée par Elina Garanca, Jonas Kaufmann et Ludovic Tézier ! –, nous avons repris contact avec l’artiste, cette fois par courrier électronique, à la fin du mois de décembre 2020, pour compléter ses propos de l’année précédente et parler de la manière dont elle se prépare à un spectacle qui, s’il se joue, devrait faire figure d’événement planétaire.

Sophie Harmsen

par Mehdi Mahdavi

La mezzo-soprano allemande est l’un des artisans de la réussite du nouvel enregistrement de la Missa solemnis de Beethoven, chez Harmonia Mundi, couronné d’un Diamant d’Opéra Magazine dans les pages « CD » de ce numéro.

Pionnier du “septième art ”

par Pierre Cadars

Entamé avec l’opéra Frédégonde, dans notre numéro de janvier, notre « feuilleton » Saint-Saëns, à l’occasion du centième anniversaire de la disparition du musicien, se poursuit avec une œuvre ni théâtrale, ni vocale, qui entretient pourtant des liens subtils avec l’univers de la représentation. Il s’agit de la musique d’accompagnement écrite pour le film muet L’Assassinat du duc de Guise, en 1908, date marquante dans l’histoire du « septième art », puisque c’était la première fois qu’un compositeur de grand renom travaillait sur commande pour le cinéma.

Le Trouvère à l’Opéra de Paris

par José Pons

Le 15 janvier dernier, l’Opéra National de Paris a renoncé à afficher la production d’Il trovatore signée Alex Ollé, prévue du 21 janvier au 26 février, en ouvrant éventuellement la porte à quelques représentations en version de concert, après la mi-février. Opéra Magazine a néanmoins décidé de publier le dossier commandé dans la perspective de cette reprise, composé d’une histoire en images de l’œuvre, depuis son entrée au répertoire de la maison, en 1857 et en français, puis d’un entretien avec la soprano lettone Marina Rebeka, à l’occasion de ses débuts dans le rôle de Leonora.

Marina Rebeka

par Thierry Guyenne

La nouvelle Leonora

Contralto au zénith

par Michel Parouty

Le nouvel album de Nathalie Stutzmann révèle une chanteuse/ cheffe d’orchestre dans la pleine maturité de son talent.

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