Nivek

Méfiez-vous de l’eau qui dort, après une absence remarquée pour causes de galères multiples, Boogers revient enfin et pour notre plus grand bonheur d’adulescent avide d’émotions sonores.

Issue de la génération dorée artistique qui a baigné dans le « pop » des années 80 et 90, qui atteint la quarantaine aujourd‘hui, et une maturité nécessaire pour affirmer son activité et en vivre, Séverine Deslions est taillée pour laisser une trace partout où l’opportunité laisse son art s’épanouir, au gré des rencontres, dans les contrées les plus éloignées comme au sein de son berceau tourangeau. C’est d’ailleurs ici que débute son aventure, avec l’appui de son guide, devenue amie puis tout récemment son agent, Véronique Poullard, directrice de la Galerie 21, QG de l’artiste au 58 de la rue de la Scellerie, qui expose une demi-douzaine de ses oeuvres incontournables. Séverine Deslions semble de ces artistes, de ces personnalités, de ces êtres humains qui ont la volonté d’aller chercher la base des arcs-en-ciel, voir de quoi il en retourne, et de l’exprimer au monde. Il s’agit de redonner ce monde un peu meilleur qu’on ne l’a trouvé. Rencontre.

Rencontre avec Nivek, le rappeur autoproduit qui prend son temps pour aller où il veut. S’il commence à écrire en 2003 (d’abord en groupe puis ensuite tout seul), ce n’est qu’en 2008 que sort son premier album Mon Coeur Vagabonde en collaboration avec Juxebox. Very Bad Tape verra le jour en 2012 puis Very Bad Tape 2 en 2013. 2014 sera peut-être l’année de Very Bad Tape 3 mais en tout cas, ce qui est certain, c’est qu’elle est déjà celle de l’énorme Very Bass Tape, à écouter, écouter et encore écouter…

Tel Marty un McFly haranguant Doc en lui demandant « Mais merde ! Où sont-ils ?! », à quoi celui-ci répondait : « Tu devrais plutôt dire : Mais merde, quand sont-ils ?! », une fratrie se promène sur les routes du passé, du présent et du futur depuis les alentours de métro Philippe Auguste jusqu’à Bastille, en étant passée par San Francisco, voyage au cours duquel elle témoigne d’une forte présence de marques de sacs destinés à la gente masculine fabriqués sur place. Une idée et un projet naisse.

Depuis sa plus tendre enfance à La Réunion où il est né puis à Madagascar où il a grandi, Jérémy Florès a toujours été au contact de la mer. Initié au surf par son père, Jérémy révèle très tôt un talent hors normes pour le shortboard. Jérémy s’impose très tôt dans les Championnats nationaux australiens et français. On lui promet une grande carrière, on le compare à Kelly Slater qui lâchera même cette phrase à son sujet « il est meilleur que moi au même âge ». Reste à confirmer et c’est ce que Jérémy Florès va réussir à faire avec une réussite et une force de conviction qui forcent le respect.

Le talent a ce don de célébrer la nostalgie. A l’occasion de son vingtième anniversaire, l’association MARS, et le Chato’Do en collaboration avec le photographe François Christophe nous dévoilent un recueil à la forme inédite.

Le Sosh Truck est de retour en 2014 et part sur les routes à la rencontre des skateurs de quatre villes françaises. Aux commandes de ce truck américain très spécial, on retrouve l’enfant du pays Tourangeau, le skateur pro Sam Partaix, accompagné d’un team de riders français et internationaux. Bien évidemment, Sam et le Sosh Truck feront une halte à Tours... Un rendez-vous insolite à ne pas manquer le 4 octobre sur la Place Anatole France.

Conçue en deux volets, l’un historique, l’autre prospectif, cette exposition rend hommage à l’historien et critique Michel Ragon qui, dans ses ouvrages Où vivrons-nous demain ? (1963) ou Prospective et Futurologie (1978), fit découvrir les enjeux de cette architecture expérimentale au coeur de la collection du Frac Centre.