Suite au décès de leur père, quatre frères vont faire un séjour dans la maison de vacances familiale pour y disperser ses cendres. Cette comédie dramatique suit sagement le programme attendu. Un film sans surprises mais porté par de très bons interprètes.
Nos soleils de Carla Simón
Au revoir le bonheur de Ken Scott
L’Emprise du démon de Oliver Park
En troquant le crucifix pour la kippa, le film d’Oliver Park promettait de renouveler quelque peu l’imaginaire du tout-venant de l’épouvante contemporaine. Il ne compose hélas qu’un digest de motifs éculés, impropre à se hisser à la hauteur de ses modèles.
Babylon de Damien Chazelle
Brillantes de Sylvie Gautier
Femme de ménage, Karine fait face à des conditions de travail qui se dégradent et un handicap qu’elle peine à assumer. Bien que sincère, cette chronique sociale se retrouve souvent pris en étau entre des partis pris audacieux et des recours scénaristiques plus convenus.
Le Chant des vivants de Cécile Allegra
Dans un village aveyronnais, une structure d’accueil propose des ateliers d’art-thérapie à un groupe de migrants africains. Cécile Allegra capte avec beauté et sensibilité la conception de ces moments d’intimité qui guérissent du pire pour atteindre le sublime.
La Guerre des Lulus de Yann Samuel
La Guerre des Lulus est une adaptation de bande dessinée réussie, qui eumprunte également à l’esprit du Club des cinq et de La Petite bande. Malgré des rouages scénaristiques répétitifs, le film est dynamique avec cinq jeunes comédiens brillants.
Inséparables, Film collectif
À destination des plus jeunes spectateurs, ce programme de quatre films d’animation de nationalités diverses explore différentes formes d’attachement qui relient les êtres. Malgré quelques réussites, l’ensemble souffre d’un déséquilibre qualitatif.
Le Secret des Perlims de Alê Abreu
Youssef Salem a du succès de Baya Kasmi
Youssef publie un premier roman très autobiographique dans lequel il parle sans détour de sexualité et de sa famille. Le livre est un succès et les problèmes commencent. Un film fin, drôle et généreux, porté par un Ramzy Bedia exceptionnel. Une réussite totale.