J’avais dix-neuf ans, et des revues littéraires je ne connaissais peut-être que Les Temps Modernes, car je pouvais réciter la biographie de Jean-Paul Sartre. Le Minotaure peut-être, parce qu’André Breton. Et Critique, parce que Georges Bataille.
Les revues : un désir
Les revues : un désir de communauté
Artistes et écrivains francophones dans la presse italienne de la Belle Époque
Quelques investigations informatiques
Apollinaire et Lacerba
Plus que tout autre écrivain français de l’époque, Apollinaire occupe une place de premier plan au sein de Lacerba, la revue d’avant-garde que Soffici et Papini fondent à Florence en 1913 au moment même où le Futurisme de Marinetti, à la suite de ses tapageuses manifestations parisiennes de l’année précédente, obtenait un certain retentissement dû surtout aux réactions, favorables ou contraires, de l’opinion publique internationale.
Soffici et Picasso, des Étrusques aux Ibères, aller et retour
Primitivisme et modernité
Du rififi au Mercure
Ricciotto Canudo, Remy de Gourmont et Arthur Rimbaud dans les « Lettres italiennes » du Mercure de France
Les écrivains du Mercure de France en Italie (1895-1910)
Un réseau franco-italien
Passage en revue des symbolistes belges dans les périodiques italiens
A l’image de l'expression d’« avant-garde » , celle du « passage en revue » émarge d’un lexique militaire, dont le recours en l’occurrence ne doit pas apparaître que comme un simple et automatique filage métaphorique.
Le Jules Romains de Poesia (1906-1908), le Péguy de La Voce (1910-1912)
Dès qu’on nomme Poesia, dès qu’on nomme La Voce, deux villes, deux ambiances culturelles se dessinent, l’une milanaise, l’autre florentine, toutes deux tournées vers la France, foyer culturel incandescent au début du XXe siècle.
Philippe Soupault dans la revue Poesia
« Je reviendrai à Paris »