Le fou, du Moyen Âge aux romantiques

« Hôte du Louvre », titulaire d’un atelier au pavillon de Flore, l’artiste Kader Attia poursuit sa réflexion avec le séminaire « De l’objet manquant au regard », l’ouvrant à d’autres voix et créant un espace de pensée à l’image de son propre processus de travail, dans le musée.

Le musée a fait l’acquisition pour son département des Arts de Byzance et des Chrétientés en Orient d’une icône de dévotion privée, figurant la Vierge du Buisson.

En février dernier, le Louvre a acquis en vente publique un ensemble de quinze enluminures qui constitue un témoignage exceptionnel de la production des ateliers ligériens à la fin du Moyen Âge.

Deux recueils de dessins et manuscrits d’Anne Louis Girodet ont été préemptés en vente publique. Ces « livres d’artiste » sont un témoignage précieux du travail de l’auteur d’Atala au tombeau.

Gérard Araud, ambassadeur de France, a été élu le 11 juin président de la Société des Amis du Louvre. Il revient ici sur son amour de l’art et des musées et évoque ses premiers projets.

De la fin du Moyen Âge à la Renaissance, le fou envahit l’espace de la représentation sous diverses formes. Les deux commissaires de l’exposition « Figures du fou » nous éclairent sur cette étonnante prolifération et prolongent la réflexion sur ses résonances avec l’époque contemporaine.

Invité à l’occasion de l’exposition «Figures du fou. Du Moyen Âge aux Romantiques », le chorégraphe François Chaignaud a créé Petites Joueuses, une performance sous forme de parcours dans le Louvre médiéval qui met en scène les créatures d’un carnaval contemporain.

Rencontre avec le cinéaste Jacques Lœuille qui vient de signer un film documentaire passionnant coproduit par le Louvre. Il sera diffusé en octobre sur Arte au moment de l’ouverture de l’exposition « Figures du fou ».

Le mytérieux chef-d’œuvre de Watteau vient de bénéficier d’une restauration réalisée avec le Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF). Le Louvre le place aujourd’hui au centre d’une exposition qui lève le voile sur ses secrets et démontre le pouvoir de fascination qu’il a exercé dans tous les champs de la création.

Le personnage dont s’est emparé Watteau a été représenté par d’autres que lui, mais c’est son interprétation de Pierrot qui inspirera Fragonard, Picasso, et même Marcel Carné.

Huit institutions parisiennes célèbrent Barbara Chase-Riboud, grande figure de la création contemporaine, en exposant une sélection diverse de ses œuvres. Au Louvre, l’artiste s’est attachée à la figure de Cléopâtre.