Covid-19

Dans cette série, COLLECT s’intéresse à la place des jeunes artistes dans le landerneau de l’art actuel. Pourquoi réalisent-ils leurs œuvres ? D’où vient leur inspiration ? Comment envisagent-ils leur place dans le monde de l’art ? Nous avons interrogé ce mois-ci Eric Croes (1978, La Louvière).

Dans cette rubrique, COLLECT se met en quête de la personne qui se cache derrière le professionnel. Chaque mois, nous son- dons une personnalité sur des thèmes plus intimes tels que ses plats préfé- rés ou son passe-temps favori. Ce mois-ci, ‘‘visite’’ chez Rachelle Dufour (1991), collaboratrice de la galerie bruxelloise dépendance.

Lauréat du prix du public en 2019, lors du dernier festival BSPF (Brussels Street Photography Festival), pour son image d’un artiste carioca peignant le célèbre pain de sucre de Rio de Janeiro, avec en arrière-plan un SDF assoupi étalé de tout son long, focus sur le travail du jeune photographe anversois, Frederick Van Grootel (1993)

A l’hiver 1826, on découvre une grande toile recouverte de blanc, cachée dans l’atelier du peintre Jacques-Louis David récemment décédé. Cette épaisse couche de peinture recouvre l’un des tableaux les plus énigmatiques de l’histoire de l’art européen, La Mort de Marat. Une œuvre qui appartient au peuple français mais se trouve aujourd’hui à Bruxelles, suite aux soubresauts de l’Histoire.

Au Ier siècle après J.-C., deux Frisons se rendaient à Rome pour soumettre une requête à l’empereur Néron. Ils firent le tour, si l’on en croit l’historien Tacite, des mirabilia de Rome et occasionnèrent une certaine agitation dans la ville, en raison de leur bravoure et de leur étiquette métropolitaine. Dans leur sillage, nombre de voyageurs visitèrent Rome pour diverses raisons, en tant que pèlerins, diploma- tes ou touristes. Le présent article se concentre sur un type spécial de voyageur : le grand touriste.

Maintenant que le coronavirus a mis le monde sens dessus dessous, nous vivons tous dans la tourmente. Nous nous inquiétons de la santé de notre entourage, de la nôtre, de celle de notre pays et du monde. Et ce, peut-être pour la première fois de notre vie. Il n’en allait pas autrement avant le XXe siècle. On avait alors de bonnes raisons de s’inquiéter toujours de la santé de chacun, année après année.

Le Kunstmuseum de La Haye a acquis des œuvres de jeunesse de Piet Mondrian, deux peintures et un dessin, qui complètent désormais sa collection.

L’émeraude fascine depuis toujours, mais c’est sans doute au XXe siècle que la joaillerie a su le mieux tirer parti de ses subtiles vertus. Focus sur cette pierre mythique avec le joaillier Moïse Mann, fondateur de la marque Manalys et pro- priétaire de la maison Holemans.

Il existe depuis que l’homme existe et est présent dans toutes les religions, ainsi que dans la majorité des croyances. Il prend dès lors des formes multiples... En voici quelques exemples, arbitrairement choisis parmi une foultitude d’autres. Selon le dictionnaire Larousse, le talisman est « un objet portant des signes ca- balistiques, qui a la vertu de protéger celui qui en est le porteur ». Il est souvent confondu avec l’amulette, dont l’usage est assez similaire mais vise essentielle- ment la protection, alors que le talisman est considéré comme plus ‘‘offensif’’ ou plus ‘‘précis’’, offrant à son propriétaire divers pouvoirs spécifiques.

« Pays du merveilleux, joli pays des oiseaux bleus, où les enfants peuvent al- ler rien qu’en fermant les yeux... » Depuis la publication, en 1865, du manuscrit original des Aventures d’Alice au pays des merveilles, l’ouvrage de Lewis Carroll prisé de tous les âges demeure un des plus influents qui soit. C’est ce qu’entend démontrer une exposition préparée par le Victoria & Albert Museum de Londres. Reportée à l’automne, cette présentation célèbre l’une des histoires les plus emblématiques, les plus imaginatives et les plus inspirantes de tous les temps, en proposant un voyage immersif et réfléchi dans le terrier du lapin blanc, tout en explorant les origines, les adaptations et les réinventions du récit. Avec plus de 300 objets (cinéma, performance, mode, art, musique et photographie), l’institution londonienne est la première à explorer pleinement l’impact culturel d’Alice comme source d’inspiration féconde de bon nombre de créateurs.

Le narcissisme existe depuis la nuit des temps. Le miroir en constitue le support séculaire par excellence, même si sa fonctionnalité remonte à bien plus long- temps. Il fut ainsi utilisé dans diverses cultures à des fins de divination ou d’astrologie et est toujours au goût du jour.

A l’été 2016, suite à l’affaire du faux Cranach de la collection du Prince de Liechtenstein, et à celle du faux mobilier du XVIIIe siècle, nous publiions une grande enquête sur les faux dans l’art, toujours disponible en téléchargement libre sur notre site Web. A l’heure de l’ouverture prochaine de divers procès, certaines affaires déjà jugées qui concernent les Etats-Unis, et l’art moderne plus particu- lièrement, donnent déjà une idée de ce qui attend le monde de l’art.

On le voit notamment du côte des ventes publiques, la crise du coronavirus et la dématérialisation des enchères ont eu pour conséquence de devoir fournir aux clients un rapport d’état très détaillé des objets proposés. Le studio de restaura- tion bruxellois de Nicolas Lemmens est, à ce titre, particulièrement sollicité.