Dans cette série, COLLECT s’interroge sur la place des jeunes artistes dans le segment de l’art contemporain. Pourquoi réalisent-ils leurs oeuvres ? D’où vient leur inspiration ? Comment perçoivent-ils leur position ? Ce mois-ci, François Jacob (1976, Bruxelles) se prête au jeu.
Un musée anversois
François Jacob
Beatrix Bourdon
« Je resterai toujours une fille de la mer. »
Stéphane Lavoué
On trouve chez Stéphane Lavoué un vrai talent narratif, peut-être parce qu’il est avant tout photographe de presse (Libération, Le Monde, Le Figaro, …). Oui, les portraits, il sait comment les prendre, comment les rendre justes et sincères ! Il sait aussi comment raconter une histoire et en maîtrise les codes.
Frans Snijders
Un musée pour le maître de la peinture animalière
Fernand Léger
Chroniqueur d’une société industrielle en plein essor, Fernand Léger parvient à conjuguer son engagement communiste et l’ambition de s’inscrire dans la grande tradition, en revisitant un thème résolument populaire : les loisirs.
Chez Bonhams
Dans des domaines tels que l’art asiatique, les oldtimers, l’art contemporain, les bijoux et les impressionnistes, Bonhams tient à sa réputation de maison de confiance. Christine de Schaetzen et Koen Samson, respectivement responsables de Bonhams Belgique et Pays-Bas, nous parlent de rares thangkas, d’hédonisme et de nostalgie.
Charles Ier et Charles II
Initiateurs des collections royales anglaises
La Marqueterie de paille
Voici le parent pauvre de la marqueterie. Qu’y a-t-il en effet de plus modeste que la paille ? Les premiers marqueteurs y ayant recouru comme substitut aux onéreuses essences exotiques ont peut-être choisi cette alternative pour des raisons de coût et parce que ce matériau était assez facile à trouver. D’un point de vue esthétique, toutefois, la marqueterie de paille n’a rien à envier aux autres techniques, ce qui explique que des marques comme Davidoff, Hermès, Cartier ou Guerlain l’ont intégrée à leurs productions et autres intérieurs de boutiques. Ce parent pauvre a donc bel et bien gagné ses lettres de noblesse.
Miroir, mon beau miroir...
Aurions-nous osé un autre titre ? De la psyché à l’accessoire incontournable du sac féminin, le miroir fut décliné en de multiples civilisations et, depuis les temps les plus reculés. COLLECT a choisi de se concentrer sur le miroir à main, signe de grand raffinement, mais également objet symbolique à plus d’un titre. L’être humain a toujours été fasciné par sa propre image, fusse-t-elle simple reflet : Narcisse en est le meilleur exemple, qui tombe désespérément amoureux de son propre visage reflété dans l’eau d’un étang. Les premiers miroirs connus semblent être des pierres polies, trouvées en Anatolie vers 6000 avant J.-C. ; ces obsidiennes apparaissent bien comme les ancêtres des miroirs à main, ces face-à-face qui jalonnent toute l’histoire de l’art. Madeleine y scrute la vanité des choses tandis que Belle y découvre, non pas l’image d’elle-même, mais de celui qui occupe son coeur et son âme ! Magique, le miroir ? Certainement ! Mais, avant tout, c’est un objet finement ouvragé, souvent luxueux car fabriqué dans les matières les plus précieuses.
Sheila Hicks
Tissus sans préjugés
Jean Brusselmans
Le peintre Jean Brusselmans a passé la majeure partie de sa vie dans la campagne belge, loin du monde de l’art. Son oeuvre a tardé à être reconnu en raison de cet éloignement. Ce qui ne l’a pas empêché de tracer sa voie et de développer un style unique qui ne s’inscrit dans aucun des courants artistiques de l’avant-garde.
Un Rubens à la BRAFA
L’oeuvre du maître en personne
Contemporary African Art Fair
La foire s’installe à Marrakech
Art Rotterdam Week
Un festival qui a le vent en poupe