COLLECT s’interroge, dans cette série, sur la place des jeunes artistes dans l’univers de l’art contemporain. Pourquoi réalisent-ils leur travail ? D’où leur vient leur inspiration ? Comment se positionnent-ils dans le monde de l’art ? Ce mois-ci, rencontre avec Joris Van de Moortel (1983, Oostakker).
Le Caravage
Joris Van de Moortel
Veerle Wenes
COLLECT révèle, dans cette rubrique, la personne qui se cache derrière le professionnel. Nous interrogeons chaque mois une personnalité du monde de l’art et abordons des thèmes plus intimes comme leurs plats préférés ou leur passe-temps favori. Ce mois-ci, rencontre avec Veerle Wenes (Courtrai, 1956), propriétaire de la galerie anversoise Valerie Traan.
Paul Mpagi Sepuya
L’exposition qui commence cet automne au FOAM d’Amsterdam met en scène le travail photographique de l’artiste américain Paul Mpagi Sepuya. Pour cette première exposition solo en Europe, l’institution met la barre très haut. Paul Mpagi Sepuya adore le travail de dialogue avec lui-même, en tant qu’artiste, mais aussi entre les sujets qu’il photographie. C’est avant tout un génial portraitiste qui croise une photographie plutôt plasticienne avec un doux mélange de nu et d’intimité de la relation significative qu’il développe avec ses sujets, la plupart du temps également ses muses.
James Lee Byars
A Anvers, le M HKA présente la première rétrospective en Belgique consacrée à James Lee Byars. Cet Américain a marqué l’histoire de l’art du XXe siècle et son influence se fait toujours sentir. Chamane ou showman dans son costume noir, blanc ou doré ? Il remit continuellement en question sa propre existence au travers de ses performances, écrits, sculptures et autres installations artistiques. Et, par voie de conséquence, la nôtre…
Théodore van Loon
Célèbre en son temps, peintre majeur de la Contre-Réforme, Théodore van Loon (1581/82-1649) est aussi considéré comme le premier caravagesque du Nord. Cette exposition, qui va de pair avec la restauration de quelques–uns de ses chefs d’oeuvres, permet de redécouvrir un artiste magnifique, qui fut à la Bruxelles du XVIIe siècle, ce que Rubens fut à Anvers. Rencontre avec Sabine van Sprang, commissaire de l’exposition et conservatrice aux Musées royaux des beaux-arts de Belgique, à Bruxelles.
Les Arenberg
Une réunion de famille à Louvain
Joan Miró
Déployant sans retenue les trésors de son imagination, Joan Miró livre une composition peuplée de figures et d’animaux fantastiques, apparaissant tantôt en suspension, tantôt épinglés sur un fond neutre. Une variété de motifs invités à une fête carnavalesque, absurde, surréaliste.
Anni Albers
En 1949, Anni Albers était la première artiste tisserande à obtenir une exposition en solo au MoMA. Aujourd’hui, près de 70 ans plus tard, elle fait l’objet d’une grande rétrospective à Londres. La Tate Modern présente ainsi toute sa carrière, de ses premiers dessins au Bauhaus à ses dernières oeuvres graphiques, en passant par ses tissages, tapisseries murales et autres compositions.
Hiroshi Sugimoto
La permanence de toute chose
Yves Gastou
Antiquaire, défricheur spécialisé en mobilier français et italien, personnalité de Saint- Germain-des-Prés, le Parisien Yves Gastou a constitué depuis plus de trente ans une impressionnante collection de bagues d’hommes. Cet ensemble époustouflant, assemblé au gré d’un parcours de chineur et de voyageur, s’expose pour la première fois, à Paris. L’exposition, qui est également la toute première à s’intéresser exclusivement aux bijoux d’hommes, met en valeur près de 500 bagues sur les quelque mille amassées avec frénésie, acharnement et prise de risques par l’antiquaire. Des bagues de doges de Venise du XVIIe siècle à celles des bikers américains des années 1970, des bagues de l’Egypte ancienne aux émaux du XVIIIe siècle, des vanités du XIXe siècle aux créations d’artistes contemporains.
Gio Ponti
Bien qu’il ait été l’un des architectes et designers italiens les plus influents de sa génération, l’oeuvre de Gio Ponti reste relativement méconnue du grand public. Voilà précisément ce à quoi le musée des Arts Décoratifs de Paris entend remédier par cette rétrospective.
Piqués d’or
Le fol art de l’écaille à la cour de Naples
Edward Burne-Jones
Deux amoureux en robes bleues et teints laiteux, enlacés dans un décor jonché de débris antiques, ils partagent la même beauté mélancolique. Voici une oeuvre émouvante de Sir Edward Burne-Jones, artiste qui exerça une grande influence sur la peinture britannique mais aussi sur les peintres symbolistes français à la fin du XIXe siècle.
Le Caravage
Portrait double, entre férocité et contradictions
L’art africain et océanien
Dans l’oeil et le goût d’Adolphe Stoclet