Robin McKelle

Le 7 décembre 2013, à 20h30, était lancé le Festival de Chicago Blues au Centre Culturel John Lennon de Limoges. Une occasion dans cet hiver froid et sec de s'imbiber le coeur avec une chaleur venue d'outre-Atlantique.

Sachant que ce qu'ils préfèrent faire le plus est de monter sur scène, Loretta et ses Bad Kings ont choisi de nous offrir un album enregistré en public. Nous les avons donc rencontrés pour qu'ils nous parlent de ce nouvel opus.

L'écoute de son dernier opus, Heart of Memphis, nous ayant tellement bluffé, il devenait urgent et impératif de rencontrer la miss ! L'entretien avec Robin McKelle, une artiste oscillant entre jazz, soul, rythm'n'blues et blues fut un excellent moment... Trop court d'ailleurs.

Nous l'avions rencontré au Tremplin de Cahors Blues Festival, en 2012, avec les Goodbye Joe. Aujourd'hui, il a choisi de continuer sur la route du blues en solo. Avec ses influences et ses idoles dans la tête. Nous lui avons demandé de se confier, afin de vous faire connaître un musicien généreux et entier.

Subjectif, cet article est avant tout un papier de passionné nourri aux notes bleues depuis des lustres. Et la liste qu'il comporte est, bien entendu, non exhaustive, d'autant que relevant de mon choix personnel. Reste que les morceaux dont je vais vous parler jalonnent l'histoire du blues en général, et du blues blanc en particulier

Le jeune américain avait sorti un live, enregistré au Paradiso d'Amsterdam, en 2012. Et il est revenu dans l'Hexagone pour faire quelques dates à l'occasion de la sortie de son nouvel album Pokey Lafarge, sorti chez Third Man Records, fin 2013. L'occasion de brièvement s'entretenir avec lui...

Le blues européen, et plus particulièrement le blues français, a un mal qui le ronge : de nombreux festivals ont disparu, alors que d'autres tentent de subsister, via des affiches souvent sans intérêt. Le dernier exemple en date est le swamp blues festival de Calais qui, aux dernières nouvelles, ne verra pas le jour en 2014 ! Pourtant, nombreux sont les amateurs qui passèrent des moments mémorables à ce festival nordiste.

En 30 ans de carrière, ce bluesman normand a rencontré et jammé avec les plus grands noms du blues, qui l'ont d'ailleurs fortement influencé. Deux CD ont vu le jour, Get out of the background en 1997 et Dead Time en 2003. Compositeur à son heure, c'est surtout en reprenant les grands standards du blues qu'il hypnotise les foules. Aujourd'hui, il est toujours sur la route du blues avec son groupe. Anquetil Blues Band, et nous présente l'opus qui vient de naître : Lost in the blues.

Le chanteur qui a le plus vendu de supports musicaux (78 tours, 45 tours, 33 tours, cassettes, CD, vidéocassettes, DVD) au monde est un interprète de rock'n'roll, et tout le monde sait qu'il s'agit d'Elvis Presley.

Cela faisait déjà quelques temps que des copains, fans de rockabilly ne juraient que par le Tony Marlow dès que l'on abordait un sujet concernant cette musique si particulière. La sortie de son dernier opus, Rockabily Troubadour, a donc été l'occasion de répondre à quelques questions le concernant, et vérifier par moi-même ce qu'il en était vraiment...

Riga... On ne parlait plus que de ça depuis un an à l'European Blues Union ! Bien sûr, la ville est capitale européenne de la culture pour 2014, bien entendu cette ancienne république, sortie de la tutelle soviétique en 1991, a des arguments culturels et architecturaux pour attirer les visiteurs.

Né de la rencontre de deux adorateurs de la musique américaine, ce duo grenoblois de nous a particulièrement séduits de lors des balances au Grésiblues Festival. De là à vous les faire connaître, il n'y avait qu'un pas... Et ils se sont livrés bien volontiers au des questions/réponses...

Daniel Blanc et ses acolytes du groupe DBT ont rencontré quelques soucis avec les autorités bien vaillantes, lors d'une mini-tournée prévue au Québec. Ils nous racontent ci-dessous leurs péripéties qui valaient bien quelques lignes dans Blues Magazine.