When We See Us, consacrée à un siècle de peinture panafricaine, est présentée à Bozar, à Bruxelles, du 7 février au 10 août 2025. Réunissant près de 150 œuvres d’artistes du continent et de la diaspora, l’exposition entend battre en brèche les stéréotypes et proposer une vision émancipatrice de la « Blackness », ou identité noire. Avant Bruxelles, elle fut montrée au Cap et à Bâle où Vanina Géré avait pu la voir.
Peindre l’irreprésentable
Bozar
Prix HCB
Karim Kal est le 13e lauréat du Prix HCB. Consacré à la Haute Kabylie, son projet Mons Ferratus est exposé à la fondation Henri Cartier-Bresson (ou fondation HCB), à Paris, du 28 janvier au 13 avril 2025.
Barthélémy Toguo
Un monde en mouvement
Peindre l’irreprésentable
Tandis qu’Éric de Chassey, directeur de l’Institut national d’histoire de l’art, publiait au printemps dernier, Donner à voir. Images de Birkenau, du Sonderkommando à Gerhard Richter (Gallimard), un autre ouvrage paraissait, épais album parcourant l’œuvre de Jérôme Zonder, où l’on pouvait reconnaître ses grands dessins réalisés d’après les photographies du Sonderkommando. À la rentrée, la galerie Jocelyn Wolff proposait l’impressionnante exposition de Miriam Cahn, Devoir-Pleurer (8 septembre-26 octobre 2024) : scènes de guerre, de tortures et, dans une sorte de cabinet, des petits tableaux, des dessins évoquant de toute évidence le 7 octobre 2023. Stéphane Pencréac’h, de son côté, a peint un tableau d’après une image du massacre des kibboutzniks de Kfar Aza par les terroristes du Hamas.
Jérôme Zonder
Reprendre l’Histoire en main
Miriam Cahn
Mon écriture rythmique
Sur la piste du chocolat asiatique
Entre local et global, passé colonial et capitalisme contemporain, le cacao est un sujet d’étude pour les artistes-chercheurs travaillant en Asie. Caroline Ha Thuc les a réunis dans l’exposition itinérante In Stranger Lands: Cocoa’s Journeys in Asia.
D. H. Lawrence
Pas loin d’un siècle après sa publication sous le manteau, 92 ans après sa première traduction en français (chez Gallimard), 64 ans après la levée de la censure en Grande-Bretagne, l’ultime roman de D. H. Lawrence paraît en Pléiade.