John Coplans

Randa Maroufi

par Christophe Le Gac

Exposée au Centre d'art contemporain Chanot à Clamart (18 septembre-28 novembre 2021), Randa Maroufi navigue entre les mondes de l’art et du cinéma. Performances, photographies, documentaires et fictions rythment sa production. On y retrouve souvent le corps et la figure humaine. À Clamart, elle en présente un échantillon autour de « l’autre comme hôte », notion qui titre l’exposition.

Steve Lacy, Kenneth Noland

par Philippe Ducat

À l’ère des échanges tous azimuts entre disciplines, il est temps de rendre hommage à ceux qui, depuis longtemps, se donnent rendez-vous au-dessus d’un support circulaire. Tel est l’objet de cette nouvelle rubrique.

Gaëlle Bourges

par Emmanuel Daydé

Comme Daniel Arasse, la chorégraphe Gaëlle Bourges pense qu’on n’y voit rien. Que les chefs-d’œuvre, obscurcis par les regards paresseux et le temps poussiéreux, nous échappent. Aussi s’est- elle donnée pour mission de nous les rendre vivants, et nus. Ce qu’elle fait en redonnant les cariatides de l’Érechthéion aux Grecs dans OVTR, tout comme l’Olympia de Manet au Paris noir dans (la bande à) LAURA, deux spectacles à voir en décembre dans le cadre du Festival d’Automne à Paris.

Lorenzo Fiaschi

par Aurélie Cavanna

Continua, Galerie kaléidoscope

Marseille, mise en réseaux

par Aurélie Cavanna

Dans notre numéro 491 (septembre 2021), nous nous intéressions au marché de l’art à Marseille. Ce deuxième focus se penche plus globalement sur le renouveau de la scène, ainsi que sur ses limites. Diagnostic avec Jean-Christophe Arcos, fin connaisseur de la région en tant que délégué général du PAC (anciennement Marseille expos, rebaptisé Provence art contemporain en 2020), réseau territorial qui, en coulisse, contribue à cette dynamique.

Picabia

par Catherine Millet

La peinture dans tous ses états

John Coplans

par Anne Bertrand

Une exposition à la fondation Henri Cartier-Bresson (John Coplans. La vie des formes, 5 octobre 2021 -16 janvier 2022), conçue par Jean-François Chevrier avec Élia Pijollet, de même que la monographie qui l’accompagne, publiée par le Point du jour, à Cherbourg, où l’exposition sera montrée du 29 janvier au 15 mai 2022, offrent l’opportunité rare de découvrir ou réévaluer, dans un même mouvement, les photographies du Britannique (1920-2003), actif aux États-Unis à partir des années 1960, et ses formidables essais critiques, dont certains sont traduits en français.

Barry McGee

par Richard Leydier

Golden Gate

Vera Molnar

par Damien Sausset

Au-delà du cercle

La Neue Nationalgalerie

par Thibaut de Ruyter

La Neue Nationalgalerie a rouvert ses portes à Berlin après six ans de travaux. Cette restauration n’est pourtant qu’un des nombreux épisodes de l’histoire de ce temple de verre qui a failli sortir de terre à Cuba et raté sa conversion en aéroport. Restauration qui, de plus, interroge tant le rafraîchissement à l’identique que la manière dont les lieux d’exposition sont pensés.

Georges Bernanos

par Richard Millet

Déjà auteur d’une biographie de Léon Bloy, François Angelier revient sur la vie de Georges Bernanos, « écrivain de combat ».

Témoignages des camps

par Jacques Henric

En ces temps de « rentrée littéraire », les questions se posent à propos des deux ouvrages ouvrant ce cahier livres : appartiennent-ils à l’espace de la littérature ? La littérature est-elle un espace où la vérité peut advenir ? Les images ont-elles un même pouvoir de révélation que les écrits ? Il s’agit du volume de la Pléiade réunissant les grands livres sur les camps de concentration nazis rédigés par des hommes et une femme qui y furent détenus, l’Espèce humaine et autres écrits des camps ; d’un essai de Christophe Cognet, Éclats. Prises de vue clandestines des camps nazis, et de son film À pas aveugles.

Hélène Cixous

par Philippe Forest

Rêvoir, le nouveau livre d’Hélène Cixous, ressemble peu, en apparence, au Livre de Promethea, son roman paru en 1983 et repris aujourd’hui dans la collection L’Imaginaire. Disons plutôt de ces deux textes qu’ils se ressemblent précisément en ceci que, l’un et l’autre, ils ne ressemblent à rien. Et certainement pas à ce que, en général, l’on appelle désormais un roman. Ce qui les rend si différents, tous les deux et chacun à sa façon, de ce qui à tort passera, tout autour et à côté, pour de la littérature.

Thomas Clerc

par Olivier Rachet

Dans son dernier roman,Thomas Clerc scrute les arcanes de son inconscient et s’aventure dans une réécriture toute personnelle de la descente aux Enfers.

Jacques Aumont

par Célia Kadouche

Figures de l'invisible

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