Reconnue à l’étranger mais encore méconnue dans son pays, la Française Alix Marie présente l’installation Sucer la nuit au salon Approche qui, dédié aux nouvelles pratiques de la photographie, se tient à Paris du 12 au 14 novembre 2021.
Georg Baselitz
Alix Marie
Georg Baselitz
Du 20 octobre 2021 au 7 mars 2022, le Centre Georges Pompidou organise une rétrospective de Georg Baselitz (né en 1938). Si l’on voit régulièrement à Paris des œuvres du grand artiste, en particulier à la galerie Thaddaeus Ropac, qui inaugure d’ailleurs avec lui son nouvel espace à Séoul, on peine parfois à se faire une image claire de l’évolution de son travail, qui s’étale tout de même sur six décennies. Cette exposition (commissaire : Bernard Blistène, assisté de Pamela Sticht) permettra d’en faire une synthèse. Et il y a fort à parier qu’elle nous ramènera vers des fondamentaux.
Elmar Trenkwalder
Le grand rêve babylonien
Anne Wenzel
The Bacon Project
Luboš Plný
Luboš Plný a d’abord transformé son corps en objet d’art, puis il a converti sa vie en art dans de grands dessins anatomiques. Il vit et travaille à Prague où nous l’avons rencontré en juillet dernier. En 2020, il a obtenu le premier prix à la biennale de dessin Osten à Skopje, en Macédoine ; cette année, il est présenté à la Fiac par la galerie Christian Berst. Son épouse, Lucie Žabokrtská, a bien voulu tenir le rôle de l’interprète durant l’entretien qui s’est déroulé chez lui, dans la bibliothèque qui jouxte son atelier.
Roni Horn
Si l’Islande est, selon ses termes, la « muse » de Roni Horn, à quoi tient cette relation, et qu’en advient-il ?
Philippe Descola
« Entreprise comparative à l’échelle planétaire », les Formes du visible de l’anthropologue Philippe Descola se tourne vers les images qui, loin de tout universalisme, incarnent des formes différentes de « mondiation ».
Julia Kristeva
« Peut-on aimer Dostoïevski ? », se demandait Julia Kristeva. C’était il y a près de deux ans, en tête du livre qu’elle consacrait au romancier de l’Idiot, l’un des « auteurs de [s]a vie » – pour reprendre le titre de la collection qui, chez Buchet-Chastel, accueillait alors son essai sur Dostoïevski et l’anthologie qui l’accompagnait. La même interrogation pourrait figurer au début du nouvel ouvrage, développant précieusement les analyses du précédent, que, chez Fayard, à propos de « l’ogre russe », Kristeva offre aujourd’hui, c’est-à-dire en cette fin d’année où l’on célèbre – où l’on devrait célébrer – le bicentenaire de la naissance de l’écrivain.
Claude Royet-Journoud
L’Usage et les attributs du cœur poursuit le travail entrepris par Claude Royet-Journoud dans sa Tétralogie (1972-97). On y retrouve l’héritage de sa longue fréquentation de l’avant-garde américaine, de ses curiosités de grand lecteur et du travail collectif entrepris autour du groupe d’Orange Export Ltd.
Gérard Titus-Carmel
Gérard Titus-Carmel publie le récit des premières décennies de ce qui allait devenir une vie de peintre et d’écrivain.