Ainsi l’a fixé le comput annuel de Concerto Soave, Jean-Marc Aymes à la barre ramène le vaisseau Mars en Baroque avec la nouvelle Lune d’équinoxe. En cette XXIe édition, musique et poésie souffleront ensemble pour gonfler la voilure du festival et leur chant célèbrera ce printemps des musiciens qui se leva sur l’Europe à l’aube du XVIIe siècle et d’une voix neuve se fit l’interprète d’une sensibilité qui changeait de saison.
En grève !
Galaxie baroque
Commeunrock
Avec la sortie de son EP Lanterns en 2021, le groupe Glitch s’est taillé une place de choix dans la scène rock marseillaise. Avec humilité, mais sans cacher une saine ambition, ils cherchent désormais à passer un cap pour s’imposer durablement.
BonneCopi
La compagnie Pirenopolis orchestre une belle rencontre entre un texte de Copi, un acteur talentueux et un public conquis par L’Uruguayen mis en scène par Christophe Chave, au Théâtre Antoine Vitez.
Embarque sur le Nil
Au Mucem, l’exposition Alexandrie : futurs antérieurs revisite l’histoire de la ville égyptienne en associant la recherche archéologique et l’art contemporain. En tournant résolument le dos aux mythes qui lui sont traditionnellement associés, cette exposition permet une approche différente de cette ville du Proche-Orient.
Nicolas Misery
Depuis février 2022, le directeur des musées de Marseille Nicolas Misery s’attache à développer de nouveaux projets en prenant en considération les particularités de cette ville et de ses publics. À cette occasion et à l’approche de la réouverture du [mac], l’équipe de Ventilo a souhaité dresser le bilan de l’année et connaître les objectifs prévus pour la saison à venir.
Pollutions radicales
Avec deux de ses nouvelles expos, la Friche La Belle de Mai offre des visions artistiques aux engagements bien manifestes. Bassem Saad, avec Des fumées dans la ville voisine, installe dans la Tour-Panorama de multiples points de vues sur plusieurs importants mouvements sociaux, tandis que le Collectif Polymer, avec Plasticocène, réfléchit à la pollution plastique à travers l’art contemporain dans la Salle des Machines, avec l’espoir de reléguer aux archives une matière à la production pourtant exponentielle.