Des chiffes à la lettre

L’interview Tatou (Massilia Sound System)

par Elise Lavigne

Un nouvel album, une tournée internationale et un livre : pour son trentième anniversaire, Massilia Sound System fait les choses en grand. Retour avec Tatou sur trente ans de mobilisation en occitan au service la pluralité culturelle

Chi va piano, va solo

par Laurent Jaïs

Peachy Has Gone South est le mystérieux titre du premier album solo de Cyril Benhamou. Seul face à son piano, seul face à lui-même, il s’y livre en toute simplicité. Portrait d’un artiste incontournable.

L’interview Anne Guiot

par Cynthia Cucchi

Bien que les arts de la rue semblent ne s’être jamais si bien portés, l’une des structures phares de leur développement en PACA, Karwan, est aujourd’hui en danger. Baisse des financements, changement de la cartographie politique… La directrice de la structure nous en dit plus.

L’interview Vincent Franchi (Cie Souricière)

par Sandrine Lana

Le Théâtre de Lenche ouvre une fenêtre sur l’histoire contemporaine. Femme non rééducable du jeune auteur italien Stefano Massini ravive la mémoire de la journaliste russe Anna Politkovstaïa, assassinée en 2006. Rencontre avec le metteur en scène de ce drame qui raconte en filigrane l’actualité d’un pays gangréné par la corruption et l’avidité du pouvoir en place.

Soyons désinvolte

par Karim Grandi-Baupain

Le Théâtre de la Criée programme cette semaine la venue à la Friche de Vincent Macaigne avec une réadaptation de L’Idiot de Dostoïevski. L’occasion de découvrir un dramaturge en vogue qui n’hésite pas à faire des allers-retours entre le cinéma et le théâtre.

Temps de sagesse

par Guillaume Arias

A l’initiative des Rencontres Place Publique, journalistes, chercheurs, professeurs et écrivains décortiquent pendant une semaine sous le prisme de la philosophie ce qui fait notre quotidien : la culture pop.

Archirama

par Damien Boeuf

Après Strasbourg en 2012, la Friche La Belle de Mai accueille ce week-end les Vingt-quatre heures d’architecture, événement national qui prend tout son sens dans le temple de la réhabilitation post-industrielle.

Les RIAM, en lettres capitales

par Jordan Saïsset

« Le fait d’avoir accès à tout un tas de choses nous fait prendre conscience de notre place dans le monde, et considérer ce que l’on peut faire pour l’humanité. » Ainsi Philippe Stepczak nous éclairait-il en ces pages sur la volonté originelle du festival RIAM, qu’il pilote à bout de bras depuis onze ans avec son acolyte Pedro Morais. Chaque jour plus attentive aux problématiques artistiques liées à l’ère contemporaine, la petite équipe basée à Diagonales 61 se démène chaque année pour dresser, via concerts, rencontres, performances et expositions, « une dynamique entre la connexion globale et l’engagement local. »

Temps agité

par Céline Ghisleri

Pertes de repères temporels et perceptifs à la Compagnie, où les vidéos de cinq artistes opèrent une distorsion des codes de visionnage et du mouvement des images autour de questions qui prennent le temps à revers.

Vers le défini et l’au-delà

par Bérengère Chauffeté

Les pièces de Daniel Buren profitent de la lumière qui baigne le toit-terrasse de la Cité radieuse. Une exposition au sommet.

L’aquoiboniste

par Céline Ghisleri

Ils ont commencé leurs carrières respectives ensemble, il y a dix ans. Une histoire de fidélité qui se caractérise par une deuxième exposition personnelle de Timothée Talard, pour laquelle la galerie Gourvennec Ogor double son espace d’exposition, offrant à l’artiste toute l’envergure que son travail nécessite.