Mégalithes

J’ai connu Claude Meslay à Luri le 12 août 2002, à l’occasion des Journées historiques de l’association Petre Scritte. Féru de botanique et séjournant l’été à Pietracorbara depuis longtemps, le sujet développé l’avait particulièrement intéressé : notre amitié est née ce jour-là, d’une passion commune pour les plantes.

De l’Indonésie à la Bretagne, en passant par la Russie et bien entendu la Corse, des civilisations très différentes ont consacré une identique énergie à déplacer d’énormes blocs de pierre. Si ce phénomène est commun à toutes ces cultures, il peut s’exprimer de façons fort différentes car il est le dépositaire de l’identité de chacune d’elles. Voici ce qui fait l’originalité du mégalithisme de la Corse et de la Sardaigne.

Les espoirs d’avenir pour les pêcheurs de langoustes viendront peut-être du passé. C’est pourquoi Patrice Segalou a interrogé ces “anciens”, dépositaires d’un savoirfaire qui a su si longtemps maintenir l’équilibre entre pêcheurs et langoustes : la pêche à la nasse.

L’image de la Corse à la télévision est un enjeu majeur de réflexion. Avant d’analyser les mutations de cette image sur ce médium, nous allons poser quelques bases chronologiques mêlant national et régional. Il faut en convenir, l’idée que l’on se fait aujourd’hui de la Corse est directement issue du xixe siècle. La littérature est imprégnée de modèles et privilégie le charme des paysages ou le “pittoresque” des habitants. C’est donc une Corse “mystérieuse” et sombre qui s’impose dans les esprits puis bientôt à la télévision…

Le parc naturel régional de Corse représente à sa création, en 1971, la concrétisation d’un idéal qui réconcilie l’homme et la nature. Forts de cette idée (qu’aujourd’hui l’on croit neuve) les hommes qui ont porté ce projet ont conçu une nouvelle forme d’aménagement du territoire, où la protection de l’une ne se fait pas irrémédiablement au détriment de l’autre.

Une petite promenade botanique sur les satellites de la Corse, ces îlots pour lesquels elle est un continent ! Une fragile et précieuse végétation y vit, qui a su composer avec les embruns, mais ne saura peut-être pas faire face aux nouvelles menaces…

Passionnée d’image et de nature, c’est sur le terrain qu’elle réalise, à la mine ou au pinceau, la plupart de ses dessins d’oiseaux. Elle s’essaye aujourd’hui à la gravure : alliant la précision du trait à un traitement de la lumière plus épuré, du dessin naturaliste vers l’illustration.

L’observateur curieux qui s’emparera pour la première fois de l’un de ces insectes, sans doute attiré par l’élégance de la forme ou parfois par la beauté de la robe, sera immédiatement surpris par la rapidité et la vélocité de la bête. Il est très difficile d’observer ces insectes vivants autrement que captifs dans un récipient, et souvent même ardu de les faire passer de la main au flacon.