Philippe Geluck, l’homme au chat le plus célèbre du monde, ne se présente plus. Même ceux qui n’ont jamais ouvert un des vingt-quatre albums de BD qu’il a publiés depuis 1986 chez Casterman et dont le dernier, Le Chat et ses 40 bougies, a paru voici quelques mois, le connaissent de nom, grâce à un chat bien étrange mais finalement très humain qui a fait le tour de la planète. Dessinateur, sculpteur, homme de théâtre et de télévision, Philippe Geluck, dont les bandes dessinées sont traduites en néerlandais, en anglais, en breton, en ch’ti et en dialecte bruxellois, revient sur l’origine de cette trouvaille, muse de son travail depuis une quarantaine d’années.
Philippe Geluck
Philippe Geluck
par Paul-François Paoli
Entre Buffon et Rousseau, une révolution féline
par Michel Delon
La griffe de l’écrivain
par Stéphanie Hochet
Joann Sfar
par Caroline Fourgeaud-Laville
Un équilibriste entre les mondes
Un tigre dans le moteur du cat business
par Paul Molga
Heureux comme un chat à Istanbul
par Christian Authier
Un félin satanique
par Anne Davis
« Dors, dors, chat nocturne avec tes cérémonies d’évêque et ta moustache de pierre : ordonne tous nos rêves, dirige l’obscurité de tes prouesses endormies. » Pablo Neruda
Denis Podalydès
par Judith Sibony
L’acteur et son double
Abnousse Shalmani
par Marin de Viry
La bagarre et la littérature
Les Indiens guaranis et les missions jésuites aux XVIIe-XVIIIe siècles
par Sébastien Lapaque
Enseignements (géo)politiques de la Grèce ancienne
par Raphaël Doan, François Lefèvre
Le terrorisme islamiste : une dangereuse simplification
par Catherine Van Offelen
L’histoire dévoyée de l’euthanasie
par Eryck de Rubercy
Marcel Boiteux, le connétable d’EDF
par Annick Steta
Nouveau malaise dans la civilisation
par Pierre de Senarclens