Philippe Talbot

Philippe Talbot

par Michel Parouty

Après un Almaviva d’Il barbiere di Siviglia aussi charmeur que percutant, en ouverture de saison de l’Opéra Orchestre National Montpellier, le ténor français a une actualité brillante, en ce début d’année 2021, malgré l’annulation, le 7 décembre dernier, des représentations du Domino noir d’Auber, prévues à Lausanne, à partir du 24 janvier, qui devaient marquer ses débuts dans le rôle d’Horace de Massaréna. Pour l’instant, Pâris dans La Belle Hélène, à la Salle Favart, le 1er mars, est maintenu, dans la mise en scène de Michel Fau, face à Marie-Nicole Lemieux en reine de Sparte. Ainsi que Gonzalve dans L’Heure espagnole, avec François- Xavier Roth à la baguette, pour l’Atelier Lyrique de Tourcoing, le 19 mars.

Lamia Beuque

par Michel Parouty

Le 10 janvier, à Nevers, la mezzo française incarnera Angelina dans la nouvelle production de La Cenerentola montée par Opéra Éclaté, qui tournera ensuite dans différentes salles. Parallèlement, elle poursuit, au disque, son exploration des mélodies russes de Pauline Viardot.

Alexander York

par Katia Choquer

Le 20 janvier, si la situation sanitaire le permet, le baryton américain sera l’une des étoiles du traditionnel gala avec orchestre de l’Académie de l’Opéra National de Paris, au Palais Garnier. En attendant The Rape of Lucretia, à partir du 14 mai, au Théâtre des Bouffes-du-Nord.

Frédégonde opéra à six mains

par Gérard Condé

Sauf report ou transformation du projet, pour cause de pandémie, Dortmund ressuscitera, le 16 janvier prochain, l’un des titres les plus mystérieux de la production de Camille Saint-Saëns, dont on célèbre, en 2021, le centenaire de la disparition. L’auteur de Samson et Dalila n’a, en effet, écrit que les deux derniers actes de Frédégonde, laissée inachevée à la mort d’Ernest Guiraud, musicien surtout connu pour avoir ajouté des récitatifs chantés à Carmen et complété l’orchestration des Contes d’Hoffmann. On attend avec impatience de savoir à quoi ressemble ce « drame lyrique », créé à l’Opéra de Paris, le 16 décembre 1895. D’autant plus qu’un troisième compositeur y a imprimé sa griffe : Paul Dukas, qui a orchestré, à la demande de Saint-Saëns, les trois premiers actes de Guiraud !

Marino Faliero

par Paolo Piro

Donizetti

Le Prince et le Panthéon

par Lionel Esparza

En lisant, en écoutant...

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