Le Prix « Birgit Nilsson » pour Nina Stemme
Aleksandra Kurzak, Roberto Alagna
Nina Stemme
Aleksandra Kurzak, Roberto Alagna
Unis à la ville, parents d’une petite Malèna, la soprano polonaise et le ténor français sont également partenaires sur le plan professionnel. Alors que Sony Classical publie un album de duos de Puccini (Puccini In Love) et Warner Classics une intégrale de La Navarraise de Massenet, le couple prépare ses prochaines retrouvailles en public : un concert de la série « Les Grandes Voix » au Théâtre des Champs-Élysées, le 6 novembre ; Luisa Miller à Monte-Carlo, le 15 décembre ; Carmen à New York, le 9 janvier ; Otello à l’Opéra Bastille, le 7 mars...
Laurent Brunner
Le directeur de Château de Versailles Spectacles termine l’année 2018 en majesté, avec le lancement de son propre label discographique et une avalanche de soirées lyriques prestigieuses : La Damnation de Faust, Tarare de Salieri, Actéon couplé avec Pygmalion...
Jean-Luc Choplin
Marigny, le théâtre du beau temps
Pierre Bartholomée
Un nouvel opéra pour Metz
Karen Vourc’h
En plus d’être l’une des Mélisande les plus recherchées de ces dix dernières années, la soprano française est devenue incontournable dans le répertoire contemporain. Le 16 novembre, à Metz, elle incarnera Estelle dans la première de Nous sommes éternels de Pierre Bartholomée.
Riccardo Frizza
Le nouveau directeur musical du Festival « Donizetti Opera » prendra la baguette pour le concert inaugural du 22 novembre puis, à partir du 24 novembre, pour une nouvelle production d’Il castello di Kenilworth, rareté napolitaine de 1829, avec Jessica Pratt en tête d’affiche.
Montserrat Caballé
L’une des plus grandes sopranos du XXe siècle s’est éteinte le 6 octobre à Barcelone, sa ville natale, à l’âge de 85 ans. Même si elle aborda les répertoires les plus différents et regretta toute sa vie de ne pas avoir davantage chanté Richard Strauss, son compositeur préféré, Montserrat Caballé est, avant tout, entrée dans l’histoire pour ses incarnations de Bellini, Donizetti et Verdi. Sa Norma, sa Lucrezia Borgia, sa Giovanna d’Arco, sa Leonora d’Il trovatore, son Aida tiennent du miracle par la volupté du timbre, la longueur d’un souffle que l’on croirait infini et, bien sûr, ces impalpables pianissimi aigus qui demeureront, pour l’éternité, sa signature.