Automne chargé pour la jeune soprano française, avec la sortie de son premier récital chez Erato, intitulé Miroir(s), le 5 octobre, un concert des « Grandes Voix » au Théâtre des ChampsÉlysées, le 13, ainsi que deux nouvelles productions à Berlin, au Staatsoper Unter den Linden, dont elle est membre de la troupe : Médée de Cherubini, à partir du 7 octobre, puis Hippolyte et Aricie de Rameau, à partir du 25 novembre, respectivement dirigées par Daniel Barenboim et Simon Rattle. Elsa Dreisig fait le point sur ce début de carrière météorique.
Elsa Dreisig
Elsa Dreisig
Alain Surrans
Le nouveau directeur général affiche, jusqu’au 7 octobre, le premier jalon de sa saison 2018- 2019 : un diptyque Tchaïkovski/Rachmaninov, en coproduction avec l’Opéra de Rennes, son ancienne maison, avec laquelle il a entrepris de développer de multiples collaborations.
Aurélien Bory
Le 12 octobre, l’Opéra-Comique lève le rideau sur sa nouvelle production d’Orphée et Eurydice de Gluck, dans la version Berlioz/Viardot de 1859, avec Marianne Crebassa dans le rôle principal. Opéra Magazine donne la parole au metteur en scène.
Jakub Jozef Orlinski
Remarqué au Festival d’Aix-en-Provence, en 2017, dans Erismena de Cavalli, le contre-ténor polonais incarne Unolfo dans Rodelinda à Lille, jusqu’au 14 octobre. Deux semaines plus tard, sortira son premier récital pour Erato, intitulé Anima Sacra.
Budapest
L'Opéra National fait peau neuve
Miroirs séducteurs
Le premier récital en CD d’Elsa Dreisig confirme à quel point la jeune soprano française est désormais bien plus qu’un espoir.
À la gloire de Garcia
Pour son premier récital d’airs d’opéras avec orchestre, Javier Camarena frappe un grand coup. Rendant hommage à Manuel Garcia, l’un de ses plus illustres prédécesseurs, le ténor mexicain livre une éblouissante leçon de chant.
Doubel événement
Tous deux filmés en 2017, le Billy Budd du Teatro Real de Madrid et les Meistersinger von Nürnberg du Festspielhaus de Bayreuth prennent place au premier rang de la vidéographie de chacun de ces deux monuments de l’art lyrique.
André Rieu
Éloge