De leur rencontre à l’épreuve de la maladie, un couple jongle avec les décisions majeures d’une vie d’adultes. Florence Pugh et Andrew Garfield composent une famille émouvante et passionnante, sous le regard d’un John Crowley inspiré.
Bird de Andrea Arnold
L’Amour au présent (We Live in Time) de John Crowley
Bird de Andrea Arnold
Après Cow , Andrea Arnold revient à la fiction avec une fable délicate et poétique. Tout en demeurant enracinée dans le cinéma social qui l’a fait connaître, elle s’autorise ici une étonnante envolée fantaisiste, portée par une distribution inspirée.
Maja, une épopée finlandaise (Myrskyluodon Maija) de Tiina Lymi
Au XIXe siècle, en Finlande, Maja épouse contre son gré Janne, qui l’emmène vivre sur une île. Cette adaptation réussie d’un classique finlandais brille par sa forme élégante et épurée, comme par son actrice principale, phénomène de vitalité et de cinégénie.
Mika ex machina de Déborah Saïag et Mika Tard
Queendom de Agniia Galdanova
Artiste queer vivant en Russie, Gennadiy Chebotarev, alias Gena Marvin, affiche sa différence et son authenticité en se promenant vêtue de tenues fantasmagoriques dans les rues et la nature. Un plaidoyer saisissant pour la liberté d’expression.
Six jours de Juan Carlos Medina
S. Bouajila et J. Gayet sont les têtes d’affiche de ce polar adapté d’un format coréen par un cinéaste américain. Malgré un pitch prometteur, le scénario peine à convaincre et la mise en scène manque de panache pour distinguer l’œuvre d’un téléfilm.
Tout ira bien de Ray Yeung
Hong Kong, de nos jours. Au décès soudain de sa compagne, Angie, la soixantaine, se voit progressivement écartée par sa belle-famille. Un mélo inspiré, dont la douceur de la forme ne fait jamais écran à la cruauté du récit.