Claudine, la cinquantaine, toute dévouée à son fils handicapé, rencontre des hommes de passage une fois par semaine. Elle fait la connaissance de Michael... Un beau portrait de femme au scénario un peu trop prévisible, sublimé par la grande Jeanne Balibar.
Los Delincuentes de Rodrigo Moreno
Laissez-moi de Maxime Rappaz
L’Antilope d’or, la renarde et le lièvre
Très différents dans leur facture, les deux courts métrages ici réunis illustrent les qualités de l’animation soviétique dans les années 1950 et 1970. La vivacité de la réalisation pourrait séduire et capter l’attention des très jeunes spectateurs d’aujourd’hui.
Les Fées sorcières
Via les (més)aventures de fées et de sorcières, un quadriptyque dont la variété comme la fantaisie des techniques et des thèmes autour du baby-sitting, de la création magique, de l’amitié et de l’anticonformisme de classe, offrent un réel ravissement pour tous.
Le Jeu de la reine de Karim Aïnouz
Première réalisation en langue anglaise du Brésilien Karim Aïnouz, Le Jeu de la reine est un film historique en forme de partie d’échecs où brille Alicia Vikander. La mise en scène, un peu trop sage, l’empêche toutefois de prétendre au souffle épique espéré.
Pas de vagues de Teddy Lussi-Modeste
Teddy Lussi-Modeste s’est inspiré de sa propre expérience pour raconter l’histoire de Julien, prof de français accusé à tort de harcèlement. Malgré cela, on peine à se laisser convaincre, la faute à des personnages secondaires qui manquent d’épaisseur.
Paternel de Ronan Tronchot
Dévoué à sa paroisse et à son sacerdoce, un prêtre découvre qu’il est le père d’un enfant de 11 ans. S’il parvient à éviter l’écueil du prosélytisme, le premier long métrage de Ronan Tronchot reste néanmoins à la surface des choses et de ses personnages.