How to Have Sex de Molly Manning Walker

Soupçonnant, en dépit de la cause officielle avancée, que le décès de son frère est dû à des violences policières, Malika s’engage... M. Fikri dresse un tableau percutant d’un sujet d’actualité, mêlant émotion et tension, malgré un discours parfois simpliste.

Un jeune magicien perd sa femme en couches. Parviendra-t-il à mener sa carrière tout en étant un bon père ? Christophe Barratier livre un mélo sirupeux et dénué de rythme, qui souffre d’autant plus d’un Kev Adams clairement en-dehors de sa zone de confort.

Peut-on encore produire un acte politique utile aujourd’hui ? Avec sincérité et élégance, Guédiguian accompagne son héroïne dans ce questionnement, en mettant dans deux colonnes tout ce qui plaide pour l’espoir et tout ce qui incite à la renonciation.

1956, dans le nord de la France : des mineurs de fond réveillent une très ancienne créature. Quand Germinal rencontre Stranger Things ... La nouvelle proposition de Mathieu Turi (Méandre , 2021) devrait séduire les amateurs de cinéma horrifique.

À l’occasion de Noël, le studio Aardman sort de son chapeau de nouvelles aventures pour Shaun et sa famille. Bien qu’inégal, ce programme bénéficie, dans sa deuxième partie, d’une belle inventivité visuelle, au service d’un récit rocambolesque et ludique.

Portrait posthume de l’autrice Carole Achache par sa fille Mona, ce documentaire hybride prend la forme d’une évocation poétique très personnelle, rude et tendre à la fois. La cinéaste signe une œuvre puissante, malgré une certaine gaucherie occasionnelle.

Un cinéaste se rend à Alger pour présenter un film sur son enfance dans la Casbah. Déclaration d’amour au cinéma et à sa ville natale, le nouveau long métrage d’Alexandre Arcady alterne moments authentiqu

B. Schroeder et R. Cavallo sont amis depuis de nombreuses années. Le cinéaste dresse ici le portrait du peintre, entre évocation de sa création et renvois à l’Histoire de l’art. Tout n’est pas réussi, mais le film parvient à communiquer la passion du peintre.

Après avoir “démystifié” la biodynamie en viticulture, G. Bodin s’intéresse ici aux femmes qui la pratiquent, nous offrant un film alerte, parfois surprenant, certes de parti pris, mais ouvrant sur de roboratives pistes, tant philosophiques que sociologiques.