Un programme de quatre courts métrages dans lequel on retrouve, cinq ans après le long, Ernest l’ours musicien et Célestine la petite souris malicieuse, créés par Gabrielle Vincent. Des histoires drôles et tendres qui enchanteront petits et grands.
La Villa de Robert Guédiguian
Ernest et Célestine en hiver de Julien Chheng et Jean-Christophe Roger
L’Expérience interdite Flatliners de Niels Arden Oplev
Remake d’un film de Joel Schumacher, cette Experience interdite, au scénario répétitif et dont les acteurs sont sous-employés, ne vaut que pour quelques séquences d’épouvante. Qui ne parviennent pas à sauver l’ensemble.
Titre de Eugène Green
Premier documentaire du réalisateur du Pont des arts, Faire la parole s’attache à évoquer la poésie et l’actualité de la langue et de la culture basques. Peu d’informations, beaucoup de longueurs : le film déçoit malgré de louables intentions de départ.
Justice League de Zack Snyder
Suite à la mort de Superman, Batman et Wonder Woman tentent de stopper la menace ancienne qui projette d’envahir la Terre. Cette mauvaise blague de producteur massacre le travail de Snyder depuis Man of Steel et fait l’effet d’un pétard mouillé.
Bad Moms 2 de Jon Lucas et Scott Moore
Les scénaristes de Very Bad Trip retrouvent les actrices de Bad Moms pour une suite qui satisfait aux poncifs du film de Noël mais réserve plusieurs séquences de pure comédie. Entre morale américaine et humour trash, le film devrait trouver son public.
C’est tout pour moi de Nawell Madani
La comédienne Nawell Madani, révélée grâce au stand-up, s’est inspirée de sa propre vie pour créer le personnage de Lila, aussi vitaminée qu’attachante. La fraîcheur et la sincérité de C’est tout pour moi en estompent les quelques défauts.
Coco de Lee Unkrich
Propulsé dans le “monde des ancêtres”, un gamin découvre ses origines. On retrouve la touche Pixar dans le pari audacieux (et en grande partie tenu) de faire un film pour enfants sur la mort, mais moins dans la manière, finalement plus “disneyienne”.
12 jours de Raymond Depardon
Présenté au 70e festival de Cannes, ce documentaire intense d’un maître du genre, à la croisée du judiciaire et du psychiatrique, est un bouleversant témoignage de la souffrance psychique qui interroge tout un chacun sur ses propres failles et limites.
Éditeur de Paul Otchakovsky-Laurens
Pourquoi les uns éditent et les autres écrivent ? De ce questionnement, l’éditeur P. Otchakovsky-Laurens tire un documentaire hybride où se croisent itinéraire personnel et scènes de fiction. Une réflexion subtile sur les fondements d’un métier-passion.
The Long Excuse de Miwa Nishikawa
Les Moomins attendent Noël de Jakub Wronski et Ira Carpelan
Tirés de leur sommeil hivernal, Moomin et ses parents s’initient pour la première fois à la magie de Noël. Cette nouvelle aventure des gentils trolls finlandais aux allures d’hippopotames mêle efficacement animation rétro et valeurs humanistes.