- La Reine est morte, ou "The Queen is Dead" revisité - Franchement, M Shankly - Je sais, c'est fini - Je suis seul - La Porte du cimetière - La Grande bouche - Le Garçon à la part d'ombre - Vicaire en tutu - Une lueur qui ne s'éteint jamais - Certaines filles sont trop grosses pour leur âge
Numéro 11
Louis-Manuel Matre
Thierry Loulé
- Rosette
Franck Mullor
- Haïkus
Emmanuelle Malaterre
- Le Joueur de flûte
Pascal Leray
- Fresques morales - Tonne de nuit, énième série - Si je perdais mon ombre.
Cédric Lerible
- Substrat
Paul Antoine PZ
- Le Guerrier massai - L'Aiguier - Casablanca
Emmanuelle Grangé
Elégies – sans majuscule et au pluriel, je préfère
Julien Pras
Julien Pras est un miracle. Il sait depuis longtemps que sa petite taille, ses cheveux clairsemés sur son visage poupon ne jouent pas en sa faveur. Alors, il donne le change sur scène en effleurant des arpèges folks qui tiennent du miracle sur lesquels il pose une voix d’ange. Un miracle qu’ont partagé avant lui Nick Drake, Jeff Buckley ou Eliott Smith. De ceux que l’on ne rencontre plus ici-bas. Un miracle, je vous dis. Un vrai, qui ne s’explique que si l’on admet la grâce divine. Une bénédiction.
Lilas Kwyne
- Suspension - Sept heures de septembre