Ma langue me fait ça: entretien avec Jean-Charles de Quillacq sur sa relation à son travail par Émilie Renard.
2019
Jean-Charles de Quillacq
Michel Journiac
«Rituel de transmutation» & Contaminations au présent
Fabienne Audéoud
Dans le cadre de sa nouvelle programmation La Salle de bains à Lyon a invité Fabienne Audéoud pour une exposition en trois «salles» successives, de décembre 2016 à mars 2017, sous le titre Le bien. Georgia René-Worms échange avec l‘artiste à propos du projet.
Capsule BioHARDCORE
La Capsule BioHARDCORE, qui s’est posée du 13 mars au 1er avril 2017 à l’espace des Limbes de Saint-Étienne, s’incarne d’abord en un imaginaire mystique et païen, ensuite une voix, celle convulsive d’Antoine Boute, poète expérimental et «pornolettriste», enfin des corps, ceux de Chloé Schuiten, dessinatrice et sculptrice et de Clément Thiry, bricoleur et dormeur. Depuis deux ans, ceux-ci développent une pratique performative, volontiers festive, qui prend corps dans les marges et interstices que sont les bords des routes ou les forêts, pratique qu’ils qualifient de «BioHARDCORE».
Pedro Barateiro
Le travail de Pedro Barateiro (né en 1979 à Almada, Portugal, vit et travaille à Lisbonne) offre une vision de l’état de la culture occidentale à l’ère du capitalisme tardif: il aborde notamment la façon dont les structures économiques façonnent et se nourrissent de notre vie quotidienne, nos comportements, notre vocabulaire et nos imaginaires.
Le monde ou rien
Le monde ou rien, présenté au GAC Annonay, est le troisième volet d’une série d’expositions collectives éponyme. Les deux premières occurrences de celle-ci ont été présentées à l’espace Madoura de Vallauris, puis à la galerie Circonstance de Nice.
Parleurs du ventre et autres ventriloques
Cas de figures de Julie Sas, c’est une scène qui prend place à art3. On y accède après avoir traversé un premier espace d’accueil et en descendant trois marches.
Appel En Crue
90 ans de Moly-Sabata
Gyan Panchal
Rompre l’orbe
Sirène et Sirènes de Suzanne Husky
Il est difficile de ne pas être interloqué à la découverte du monde des sirènes professionnelles. Pour ma part, l’idée même qu’il existe une activité de ce genre est susceptible de me redonner foi en l’espèce humaine. Pas parce que que les sirènes sont tellement belles que nous devrions absolument les célébrer, mais parce que leur existence est le signe que la fiction continue de jouer un rôle puissant dans la vie de certains, et ce, en dépit de toutes les injonctions à plus de pragmatisme, plus de rationalité et plus d’esprit de sérieux, qui pleuvent en continu sur nos têtes comme une cascade radioactive, ou un flux RSS.
Le Magasin des horizons
Un jour, le Magasin a changé de nom.
Diann Bauer
Scalar Xenobodies
Barthélémy Bette
Entretien
Joshua Schwebel
Entretien
Le Cap
Le Cap confirme la position centrale de sa scène artistique en Afrique du Sud