La dépendance

Plus de 141 000 personnes sont sans domicile selon l’Insee en 2012 (143 000 en 2019 selon Statista). Leurs droits sont en outre souvent bafoués. Leur situation a été particulièrement difficile lors du confinement de mars-avril derniers. Pourtant, dès le 1er février 1954, l’abbé Pierre, par son célèbre appel, avait alerté les pouvoirs publics sur les risques encourus par les personnes sans-abri et avait appelé à la solidarité de la population et rappelé la responsabilité de l’État en la matière.

Aujourd’hui, environ 5 000 titres de bande dessinée sortent chaque année en France alors qu’il y en avait seulement 500 à la fin des années 1970. Ces histoires illustrées mises en bulles et en cases connaissent un grand engouement. On nomme même la BD le 9e art et ce depuis 1964 lorsque le critique de cinéma Claude Beylie utilisa ce terme pour désigner ce genre littéraire.

À l’heure du mouvement #MeToo, encourageant les femmes à dénoncer les agressions subies, et des nombreuses voix qui s’élèvent contre les violences faites aux femmes, le mot féminisme est toujours au cœur des débats. Pourquoi ?

Carole et Bastien ont bien avancé dans leur médiation, mais malgré la patience de Gildas, le médiateur, leur relation reste très tendue. Ils reconnaissent que leurs sentiments ne sont pas totalement éteints mais que c’est la vie quotidienne qui les ronge et créé des tensions. Gildas, en les écoutant, a alors une idée : pourquoi ne pas envisager une séparation de corps. Séparer nos corps, ce n’est pas ce qui est prévu dans le cadre du divorce, se demande Carole. Pourquoi faudrait-il encore faire une autre procédure ?

Distribués le plus souvent dans les transports urbains, les journaux gratuits ont connu de beaux jours mais récemment, ce boom s’estompe. Derrière la promesse d’une information non payante, des questions demeurent sur la qualité desdites informations.

Le mot « écocide » vient de eco, qui signifie « maison », et occidere, verbe qui veut dire « tuer ». L’écocide consiste ainsi à commettre un acte si grave envers l’environnement, la planète (qui est considérée comme notre maison à tous) que les dégâts sur l’écosystème sont irréparables et/ou irréversibles. Pour qu’il y ait écocide, une négligence ou un accident ne suffit pas, il faut aussi une intention, c’est-à-dire que les actes doivent avoir été commis en toute conscience des dégâts que ceux-ci occasionneraient. Il s’agit du plus grave crime qui puisse être commis contre l’environnement.