Drogue, création, conscience augmentée
Addictions
Addictions
Du chimique au virtuel
La science-fiction de l'esprit
Écriture, biologie, technologie
Vers une mémoire étendue
Malconsommation
Usages, intoxication et inclusions d’une corporéité sociale
Un survol des pratiques d'art action des années soixante-dix
Hypothèses de désœuvrement
En 1996, au mois de mai, Francis Alÿs est invité dans la métropole de Copenhague (Danemark), dans le cadre d’une exposition collective. Il entend y poursuivre sa pratique de déambulations et autres pérégrinations afin de « faire usage » de sa propre constitution pour « programmer son errance » et tester sa résistance à toutes sortes de substances illicites. Alÿs réalise Narcotourismo, véritable exercice de désoeuvrement, dont le protocole est le suivant : Je marcherai dans la ville pendant sept jours, chaque jour sous l’influence d’une drogue différente. Mon périple sera enregistré à l’aide de photographies, de notes ou de tout autre médium qui paraîtra justifié.
L’artiste, la matière, l’idée
Un itinéraire discursif et des pratiques
Sortilèges, drogues et contrôle des dommages
Phénoménologie, pharmaceutique et catharsis dans mes performances de 1976 à 1992
Death of a hippie
Paul Thek, artiste de la côte ouest-américaine, est reconnu comme précurseur de l’installation. Il s’est d’abord fait connaître en exposant dans des boîtes en plexiglas des sculptures de cire figurant des morceaux de viande ou des parties du corps humain. The Tomb, une installation réalisée en 1967, présente une effigie pleine grandeur de lui-même (son cadavre simulé, langue visible, main coupée) étendue entouré de divers objets dans un caveau, une sorte de petite pyramide à degrés rappelant une ziggourat. L’installation a été présentée en 1967, à la Stable Gallery de New York, sous un éclairage rose et, en 1968, à l’Institute of Contemporary Art de Londres sous le titre Death of a Hippie.
Le dernier mitote
Tante Peyotle, Saint Peyotito, plante Dieu, plante Déesse, peyotl, peyote… Je t’ai déjà mangé, tu es déjà à l’intérieur de moi. Je te rencontre en dedans. Mes yeux sont fermés, mais il y a beaucoup de lumière à l’intérieur. Je continue d’avancer, mais je ne peux ni marcher ni voler : je glisse.
Antoine d’Agata
Les règles de la drogue et la pratique de la photographie chez Antoine d'Agata
Le ventre de l’artiste gastro-performance
Le peuple du poème
Hallucinogènes, excréments et animaux particuliers
Plantes hallucinogènes
De l'usage de quelques plantes hallucinogènes chez les voyageurs, les écriavains, les artistes et les médecins