Au Montois, dans le Jura suisse, les activités ressemblent à celles de n’importe quelle ferme. Sauf que, dans ce lieu en autogestion, l’activisme politique est omniprésent, il n’y a pas de patron et personne ne touche de salaire. Toute rentrée d’argent s’ajoute à la caisse commune. Les neuf militants qui y vivent font partie des deux cents membres de Longo Maï, réseau européen de communautés anarchistes créé en 1973. Nous sommes montés sur leur manège en perpétuel mouvement et le collectif nous a laissé entrevoir son équilibre.
Symphonie en vie majeure
Le récit
par Cécile Gavlak
Le regard
par Eline Müller
Fourche au poing
L’éclairage
par Raphaël Baldos
La lutte en faveur des exilés dans l’ADN de Longo Maï