Quoi de moins virtuel qu’une brouette pour colporter sa propre idée du théâtre comme bouclier contre la surconsommation et le tout-numérique. Mais une brouette ne roule pas toute seule. Il faudra donc marcher. C’est précisément ce qu’aime Lionel Épaillard. À cette vitesse-là, on peut méditer, parler avec les autres. Il décida donc un jour de pousser sa brouette le long du canal du Blavet pour partager avec humour sa poésie et ses opinions. Il fallait qu’on le suive. Lui et son personnage, Vieux Néon.
Des mots sans cravate
Le récit
par Cécile Gavlak