Fils du légendaire guitariste brésilien Baden Powell, Marcel Powell marche sur les traces de son père avec une singularité époustouflante. Fin septembre, il était de passage en France pour un concert dans le mythique club de jazz parisien, Le Duc des Lombards.
Anabel Montesinos
Marcel Powell
Etienne Candela
« Guitarra del Angel : Astor Piazzolla », le nouvel album d’Etienne Candela, suit de peu les récents hommages pour le 100e anniversaire de la naissance du maître argentin. Une intégrale pour et avec guitare classique qui saura marquer les esprits des tangueros les plus exigeants, mais pas seulement.
Ricardo Moyano
Né en 1961, Ricardo Moyano compte parmi les grands guitaristes argentins, à l’instar de Juan Falú ou Jorge Cardoso. Si sa carrière de musicien l’a conduit à parcourir les routes du monde entier, la vie l’a aussi amené à s’établir dans trois grandes villes : Madrid d’abord, où il a achevé ses études de guitare classique après que sa famille a fui la dictature militaire de son pays natal ; Paris ensuite, la « Ville Lumière », où il a approfondi ses connaissances en musique de la Renaissance et baroque ; et Istanbul, où il réside actuellement.
Raphaël Feuillâtre
L’arrivée du français Raphaël Feuillâtre, 26 ans, au sein du prestigieux label de la Deutsche Grammophon a été annoncée en septembre dernier. Il marche ainsi sur les traces de figures historiques comme Andrés Segovia ou Narciso Yepes. Rencontre.
Anabel Montesinos
Anabel Montesinos a largement su s’affranchir de son étiquette de jeune talent depuis son entrée tonitruante sur la scène internationale. En effet, elle n’a que 17 ans lorsqu’elle décroche le premier prix au concours « Francisco Tárrega » de Benicàssim, en 2002. Vingt ans plus tard, l’eau a coulé sous les ponts, et la guitariste espagnole n’a cessé d’enchanter un public de plus en plus nombreux au gré de ses nombreux concerts. Un jeu sensible, majes- tueux et virtuose dont elle fait la démonstration sur son nouveau disque, « Alma Llanera », célébration haute en couleur de cette Amérique latine si chère à la guitare classique.
Adrien Savary-Freestone
Adrien Savary-Freestone s’est formé à l'école de Newark, au Royaume-Uni, avant de rencontrer le maître luthier flamand Walter Verreydt puis de travailler pour Wolfgang Früh, à Paris. Depuis 2021, dans son atelier de Vincennes, il se consacre principalement à la fabrication de guitares classiques basées sur des modèles de luthiers légendaires.
Antoine Pappalardo
Parmi les luthiers français, le nom de Pappalardo possède une résonance toute particulière, ne serait-ce que par sa brillante carrière et l’unanimité autour de son modèle « Z », une guitare pas comme les autres qui nécessite un travail original à l’aide de moules tout au long de son assemblage. Dans cette interview, Antoine Pappalardo, aujourd’hui retraité, revient sur l’histoire de sa famille et évoque la mémoire de son fils et compagnon de route, Stéphane.
Youri Soroka
Avant de passer à l’étape du vernissage, le luthier doit s’assurer que la surface brute de l’instrument est rigoureusement exempte de défauts. En effet, la pose d’un vernis gomme-laque ne permettra pas de dissimuler certaines micro-aspérités. C’est la raison pour laquelle il faut d’abord préparer la surface : on parle de bouche-porage.