Le Puy-en-Velay. La cité auvergnate est la point de départ de la via Podiensis, l’itinéraire le plus fréquenté en France. Du Puy à Moissac. Le premier tronçon constitue l’une des plus belles étapes. Une mise en jambe pour le corps et un régal pour les yeux. Conques. Millénaire, le trésor de la magnifique abbatiale Sainte-Foy de Conques constitue une collection unique et méconnue de pièces d’orfèvrerie médiévale. De Moissac à Saint-Palais. A vélo et sous la pluie, l’ilustrateur Guillaume Reynard a parcouru cette ultime portion de la Via Podiensis qui l’amènera au Pays basque, au pied des Pyrénées.
Compostelle, la magie du chemin
Sur la Via Podiensis
Sur la Via Tolosana
D’Arles à Ostabat. Jadis la plus fréquentée des routes vers Compostelle, la route d’Arles relie la civilisation de la Méditerranée à celle de l’Atlantique, la douceur provençale à l’austère splendeur des Pyrénées.
El Camino Francés
De Saint-Palais à Puente la Reina. Au-delà de la stèle de Gibraltar qui matérialise la convergence des trois routes françaises, le pèlerin s’avance sur le chemin de Navarre. Avant les affres de l’ascension des Pyrénées, douceur bocagère et halte gastronomique. De Puenta la Reina à Saint-Jacques-de-Compostelle. Dorénavant, il n’y plus qu’un seul chemin vers Saint-Jacques, un formidable creuset de nationalités, de cultures et d’échanges. SaintJacques-de-Compostelle. Troisième ville sainte d’Occident, elle est la cité de tous les éblouissements et marque la fin du périple. Une délivrance pour certains, un nouveau départ pour d’autres.