La désobéissance est un devoir... rouge
Le chant des sirènes
Pot au feu
Le poète Serge Wellens vient de nous quitter. Il s’est éteint le 31 janvier 2010. Mais le jardin de son œuvre poétique continue et continuera de nous éclairer de son éclat.
Gare du Nord, soir de février
La diversité ethnique s'affiche à la gare du nord : militaire noir en treillis léopard pistolet-mitrailleur à l'épaule patrouillant avec un collègue blanc comme le linge lavé par la dernière lessive à la mode publicitaire, équipe mixte de policiers (c'est écrit dans leur dos) blancs et beurs professionnellement mêlés pistolet à la hanche prêts à tirer sur qui ou n'importe quoi, maître chien d'une officine de sécurité avec sa bête muselée tenue en laisse qui renifle le bas des pantalons des voyageurs... la salle des pas perdus est sous surveillance
Au passage quatre ombres
Le temps même au fusain fuit froidement toute ombre et personne n’en décalquerait le dessin.
Deux jours rouges à Paris
Le tour du monde des animaux
Inédit
Pourquoi tout ce rouge ?
Du 15 janvier 2010 au 15 février, à Dijon et en Bourgogne, le festival Temps de Paroles, auquel je reste associé après l'avoir créé il y a près de quinze ans, a conjugué la thématique de l'année : Rouge, sous le prétexte que James Sacré a écrit : « Le mot rouge convient parfaitement pour tout dire ». 70 manifestations : rencontres avec des auteurs, lectures, spectacles, exposition, ont essayé de nous en con-vaincre. Au terme de quoi, une anthologie: Et si le rouge n'existait pas ? a été publiée pour l'occasion aux Éditions du Temps des cerises, qu'avait recueillie Françoise Coulmin sur l'initiative d'Yves-Jacques Bouin, l'animateur du festival.