La Grande Bellezza

Meggy Rustamova

par Elien Haentjens · visuels: Guy Kokken

Dans cette série, COLLECT s’intéresse à la place occupée par les jeunes artistes dans le monde contemporain. Pourquoi ont-ils choisi cette voie, d’où leur vient leur inspiration et comment se positionnent-ils ? Cet été, focus sur Meggy Rustamova (1985).

Ugo Woatzi

par Florian Van Heverlee

Images de la série Chameleon, 2018-2019, formats variables. © de l’artiste 28 Les photographies d’Ugo Woatzi font référence à des espaces à la fois réels et imaginaires, pris entre des mondes de liberté et de restriction. Il révèle et pourtant dissimule, comme un caméléon qui se cache, se mélange et s’adapte, comme un moyen de survie et de préservation.

Galerie Françoise Mayer

par Ombline Damis

En 1958, Bruxelles accueillait la premier Exposition universelle de l’après-guerre. Par sa modernité, ses répercussions durables et les perspectives qui s’ouvraient pour une Europe plongée dans l’optimisme des Trente Glorieuses, tout semblait alors possible. C’est dans ce contexte euphorique d’ouverture sur le monde, notamment artistique, qu’était inaugurée à Bruxelles la Galerie Françoise Mayer.

Brieuc Van Damme

par Johan Frederik Hel Guedj · visuels: Johan Frederik Hel Guedj

Directeur de la Fondation Roi Baudouin

Otobong Nkanga

par Gwennaëlle Gribaumont

Mêlant différentes pratiques artistiques (installations, sculptures, dessins, performances, poésie, ...), Otobong Nkanga interroge le lien entre les matières premières et la question de l’enracinement, en y invitant également les concepts d’identité et de territorialité.

L’arbre qui cache la forêt

par Christophe Dosogne

Dès les origines du monde, l’arbre s’est inscrit dans l’imaginaire humain, religions et peuples lui ayant accordé une place centrale dans leurs mythes de création. Depuis l’arbre de vie ou l’arbre de la connaissance du bien et du mal, il est ainsi ancré dans la mémoire collective. D’innombrables artistes s’en sont bien sûr inspirés, ce qu’illustrent cet été deux expositions d’envergure. La saison n’est-elle pas idéale ?

Merveilles murales

par Manon van der Mullen, Maud van Suylen

D’une grandeur outrancière ! Le Rijksmuseum expose cet été un choix d’œuvres majeures de sa collection. Une chance unique de découvrir dessins, gravures et photographies habituellement conservés dans le noir en raison de leur grand format ou de leur fragi- lité. Avec Papier XXL, le musée sort littéralement de ses réserves.

Les Douze Travaux d’Emma Talbot

par Céline de Geest · visuels: Thierry Bal

En 2020, Emma Talbot recevait la meilleure nouvelle qu’une artiste britannique, possédant de l’expérience mais sans grandes expositions personnelle à son actif, puisse espérer : le Max Mara Art Prize. A la clé, six mois de résidence en Italie et une exposition dans la Collezzione Maramotti de Reggio Emilia ainsi qu’à la Whitechapel Gallery de Londres.

Théo Van Rysselberghe

par Gilles Bechet

La lumière Si les peintures divisionnistes de l'artiste belge Théo Van Rysselberghe atteignent des prix records sur le marché, le reste de son œuvre est encore très abordable.

Tiffany & Co.

par Christophe Dosogne

Une institution joaillière

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