Dans cette rubrique, COLLECT s’intéresse à la place occupée par les jeunes artistes dans le monde contemporain. Pourquoi ont-ils choisi cette voie, d’où leur vient leur inspiration et comment se positionnent-ils ? Place à Antoine Waterkeyn (Anvers, 1991).
Poupées ethniques
Antoine Waterkeyn
Sarah Moon
Le musée d’Art moderne de Paris présente l’exposition PasséPrésent, consacrée à l’oeuvre de Sarah Moon. Reconnue comme une grande photographe de mode, active en France et à l’étranger depuis plus d’un demi-siècle, ses réalisations débordent pourtant de ce domaine et l’exposition souhaite faire découvrir la singularité de son travail tant photographique que cinématographique, oscillant entre reflets et transparence, noir et blanc ou couleurs, mirages et obscurité.
Manuscrits médiévaux
Enluminures en ultramarine, lettres ornées à la feuille d’or et parchemins fabriqués à partir de peaux de mouton : les manuscrits étaient au Moyen Âge, aussi précieux qu’ils le sont de nos jours. Depuis que la KBR ouvre public son extraordinaire collection de manuscrits médiévaux dans un musée flambant neuf, un nouveau groupe de collectionneurs n’a pas tardé à manifester son intérêt pour ce domaine séculaire.
Jules Schmalzigaug
Jules Schmalzigaug est passé à la postérité en 1914. Sa tourbillonnante toile Développement d’un thème en rouge : Carnaval était, à l’époque, le premier tableau abstrait réalisé par un artiste belge. Schmalzigaug fut pendant un temps l’un des futuristes les plus remarqués d’Italie. Il mourut trop tôt et tomba rapidement dans l’oubli. Grâce au dévouement de Ronny et Jessy Van de Velde, on redécouvre son talent.
Dominique Rigo
A la fin de ce mois, Dominique Rigo aura quitté l’avenue Louise pour se recentrer sur son grand et beau show-room de la rue de Stalle, à Uccle. Liquidés donc les flagships Cassina et Vitra… L’enseigne, fondée en 1974, regrette l’abandon des édiles communaux qui a vu nombre d’autres confrères jeter aussi l’éponge. L’occasion d’une rencontre avec son fondateur, collectionneur d’art belge.
Marché de l’art et Covid-19
Comme l’ensemble de l’économie mondiale, le marché de l’art a été profondément bouleversé par la crise du coronavirus. Obligés pour survivre de basculer leur négoce en ligne, ses opérateurs sont parvenus à y susciter de belles perspectives de croissance, en même temps qu’ils touchaient un nouveau public. Est-ce à dire, pour autant, que les enchères physiques sont amenées à disparaître totalement ? A voir.
Le vol d’objet d’art
Une nouvelle étude a secoué le marché des objets d’art et des antiquités mais a également permis d’en apprendre plus sur son fonctionnement. Non seulement, le nombre d’objets d’art pillés en circulation sur le marché est beaucoup plus faible que ce que l’on prétend d’ordinaire, mais de plus, le marché global de l’art et des antiquités est également beaucoup plus restreint qu’on ne l’imaginait.
New media art
« Un mix de vidéo, d’audio, de performances, de technologie et d’électronique », c’est ainsi qu’on pourrait définir le New Media Art, forme artistique qui gagne en popularité. Aux Pays- Bas, celle-ci est ancrée depuis des années dans le paysage artistique et séduit aussi en Belgique amateurs d’art et collectionneurs.
Etonnantes porcelaines
Depuis une dizaine d’années, Paris accueille en septembre le Parcours de la Céramique et des Arts du Fe. Regroupant une vingtaine d’enseignes internationales, cet événement confirme la place de la capitale française comme plateforme européenne de la céramique et des arts du feu. C’est également l’occasion pour de nombreuses institutions de développer une programmation autour de ce thème.
Poupées tribales
Aujourd’hui, la poupée est essentiellement un jouet majeur de l’enfance. Ses origines et son rôle pendant des siècles sont pourtant imposés au sein de nombreuses pratiques rituelles et magiques. En voici un petit tour d’horizon.
Zaventem Ateliers
Alors que le créateur et architecte d’intérieur belge Lionel Jadot se trouvait pour la nième fois dans un embouteillage sur le ring de Bruxelles, son attention se trouva attirée par le toit d’un bâtiment décrépit. C’est là qu’est né Zaventem Ateliers, un lieu de coworking pour créateurs, qui a vu le jour en septembre 2018.