Dans cette série, COLLECT s’interroge sur la place des jeunes artistes dans le monde de l’art contemporain. Pourquoi réalisent-ils leurs oeuvres ? D’où vient leur inspiration ? Comment conçoivent-ils leur position dans le monde de l’art ? Rencontre avec Emilio López- Menchero (1960, Mol).
L’année du baroque à Anvers
Emilio López-Menchero
Sven Gatz
« La liberté et l’autodérision font notre force »
Philippe Van Snick
Ode à la vie en dix couleurs
Léon Frédéric
Peindre les pauvres et les déshérités
Michaelina Wautier
Une Montoise maîtresse du baroque
Le maître est de retour
A Anvers, l’année du baroque rend hommage à Pierre Paul Rubens
Gaspar de Crayer
Dans l’ombre de Rubens et de van Dyck
Le Faune
Sensuel, facétieux et fantasmé
Longwy
Le faste des émaux, les vibrations chromatiques du feu
Michel Sittow
Le peintre mystérieux de Tallinn
Frédéric de Senarclens
Un gourou pour les collectionneurs
Ed Ruscha
Ed Ruscha, artiste à la fois peintre, auteur et photographe, place le verbe, qu’il associe à des captations du réel, au coeur de sa pratique. De son point de vue, la société saturée de langages écrits se livre aujourd’hui avant tout au travers des mots et renvoie ainsi à l’idée d’un monde à lire. Ne serait-ce que par l’horizontalité implicite de la lecture, évoquant indéniablement, selon lui, la notion de paysage.
Gordon Matta-Clark
Mais qui est donc Gordon Matta-Clark, dont le Jeu de Paume de Paris propose une belle rétrospective sous forme d’hommage appuyé ? Gordon Matta-Clark (1943-1978) est né à New-York, fils de l’artiste surréaliste d’origine chilienne Roberto Matta Echaurren, dit Matta, et de Anne Clark. Le jeune homme a un peu grandi au Chili, puis en France, mais c’est aux Etats-Unis que l’artiste passera la plus grande partie de sa vie.
Ron Arad
Un marché stabilisé
Patrimoine africain
En novembre 2017, à Ouagadougou, Emmanuel Macron promettait un retour du patrimoine africain à l’Afrique, décision qui engage une réécriture de l’Histoire et de l’histoire de l’art. Le 5 mars dernier, le président français confiait l’étude de cette restitution à deux personnalités incontestables, l’historienne de l’art Bénédicte Savoy, membre du Collège de France, et l’écrivain et universitaire sénégalais Felwine Sarr. Le président français a promis à son homologue du Bénin, Patrice Talon, un avis en novembre prochain.