Les œuvres d’art les plus drôles

Décidé par Emmanuel Macron après le confinement de 2020 pour soutenir la création artistique, le projet «Mondes nouveaux» dévoile ses premières réalisations.

Inspirées du cabanon de Le Corbusier, les micro-architectures acidulées de Döppel Studio s’habillent de bâches agricoles rembourrées de déchets céréaliers. À découvrir à Firminy.

Entre délire conceptuel et expérimentation high-tech, le fondateur de la marque Anrealage explore la mode dans toutes ses dimensions, jusqu’aux plus lointaines. En témoigne sa dernière collaboration avec la NASA !

Médecins, historiens, philosophes, chercheurs et «pas chercheurs» se sont lancés dans une correspondance imaginaire avec l’inventeur du vaccin anti-rabique. Jusque dans l’au-delà.

Bientôt la saison des moissons ! Avec Alain Passard, l’été brûle déjà dans les cocottes, qui révèlent, dans un fumet de foin, la nature poétique des installations de Nils-Udo.

Des peintures orgiaques du Moyen Âge aux détournements d’Instagram, art et humour font bon ménage. Histoire d’un couple souvent subversif, parfois potache, mais toujours jouissif.

Dans une ambitieuse exposition, le Centre Pompidou explore l’art et la culture en Allemagne pendant l’entre-deux-guerres. D’August Sander à Otto Dix, focus sur la Nouvelle Objectivité, mouvement pluridisciplinaire reflet des préoccupations sociales et politiques avant le chaos du nazisme.

Conscience écologique généralisée, nouveaux modes de production, passion pour la frugalité... Saint-Étienne se fait plus vert que jamais pour sa biennale internationale de design, qui renoue avec ses grandes heures en combinant prospective théorique et expositions réjouissantes.

Découverte dans le plus grand secret en 1985 dans le massif des calanques avant d’être rendue publique six ans plus tard, vouée à la disparition par la montée des eaux, la grotte Cosquer se révèle enfin à tous dans une sidérante reconstitution. Rendez-vous dès le 4 juin à l’entrée du port de Marseille !

Toujours entre deux mondes, deux échelles et mille pistes, l’artiste franco-italienne nous a ouvert les portes de son atelier, à la veille de son exposition au Centre Pompidou. Au cœur d’un univers aussi réel que fictif, plein de rêves et d’énigmes cosmiques.

Tout juste inaugurées ou déjà légendaires, encore secrètes ou objets d’un culte, elles ont toutes des histoires singulières, liées au lieu qu’elles habitent, et hantent le plus souvent. De la Côte d’Azur au désert de Chihuahua, tour du monde des fondations ouvertes au public.

Condamnés à être vendus ou détruits, certains meubles démodés du Mobilier national ont été sauvés par quelques artistes facétieux. Bienvenue parmi ces «aliénés» revisités.

«J’avais pour les étables un goût plus irrésistible que jamais courtisan pour les antichambres royales ou impériales», dit Rosa Bonheur. Couverte d’honneurs, célébrée par tous de son vivant, la plus indomptable des peintres et sculpteurs animaliers du XIXe siècle revient nous enchanter dans quatre expositions à l’occasion des 200 ans de sa naissance.

«Le dessin est un vrai vagabondage»