Le Conseil international des musées vient de publier sa nouvelle enquête*. Si les chiffres sont moins alarmants que dans le premier rapport daté de mai, ils restent toutefois préoccupants.
50 expositions qui vous feront du bien en 2021
Quel est l’impact du Covid sur les musées dans le monde ?
Boramy Viguier, nouvelle révélation du prêt-à-porter masculin
Fortement inspiré par l’art, le jeune créateur parisien mixe occultisme et humour dans des défilés 3D évoquant autant le jeu vidéo que l’enluminure médiévale.
Moisson miraculeuse
Pendant dix ans, Madeleine de Sinéty a photographié le quotidien d’un village breton dans les années 1970-1980. Un ouvrage émouvant et intense qui montre un monde disparu.
Homard à la Picasso
Alain Passard, chef triplement étoilé de l’Arpège, a conçu pour Beaux Arts un plat aux saveurs terre et mer, ou presque. Du souvenir des terres andalouses où naquit Pablo Picasso aux profondeurs marines où vit le roi des crustacés, hommage au Minotaure de l’art moderne.
50 expositions qui vous feront du bien en 2021
Des splendeurs de l’Iran d’hier et d’aujourd’hui aux divas de la chanson arabe, de l’Amazonie du photographe Sebastião Salgado à une Saison africaine contemporaine très attendue, le premier semestre de 2021 promet d’être ouvert à toutes les scènes et tous les médiums. Avec Beaux Arts, démarrez l’année en beauté !
La Collection Pinault s’installe enfin à Paris
C’est le 23 janvier que l’une des plus importantes collections privées d’art contemporain au monde ouvrira ses portes au public, dans une Bourse de Commerce métamorphosée par l’architecte japonais Tadao Ando. Rencontre exclusive avec François Pinault et visite guidée du bâtiment vide avant l’accrochage des œuvres (que nous dévoilerons dans notre prochain numéro).
Visite guidée dans une Bourse de Commerce sublimée
Amoureux du patrimoine et amateurs d’architecture contemporaine seront subjugués. Tadao Ando, dont c’est la première réalisation à Paris, a réussi l’exploit d’emboîter passé et présent en faisant dialoguer radicalité et sacralité, pour le seul culte de l’art.
Les plus beaux fiascos du design
Entre création et marché, marketing et communication, le design aligne autant les best-sellers qu’il se casse les dents commercialement. Une exposition à Saint-Étienne analyse ses flops, bides et autres ratages. Inventaire ubuesque et moqueur, dressé par empirisme.
Insaisissables et saisissantes années 2000
Que reste-t-il des années 2000 ? En s’appuyant sur la collection Cranford, réunie depuis 1999 par Muriel et Freddy Salem à Londres, le Mo.Co. déroule les temps forts de cette bouillonnante décennie, orchestrant de singuliers dialogues entre des artistes qui ont façonné le début du millénaire.
Eugène Atget
Des surréalistes parisiens à l’avant-garde new-yorkaise, il a été adulé par les plus grands. D’abord marin, puis acteur, Atget se considérait avant tout comme un photographe commercial. Mais ses images fascinantes de Paris à l’aube du XXe siècle n’ont pas fini d’illuminer nos jours et de hanter nos mémoires. Portrait.
Comment les écoféministes régénèrent le monde
De la Pologne au Mexique en passant par le Kenya, l’association d’historiennes de l’art AWARE nous propose de faire un tour de la planète écoféministe, tout en revenant sur cinq décennies de luttes, de poésie et d’espoir. Parce que le combat contre l’exploitation de la nature et pour l’égalité des genres est plus important que jamais, cette exposition imaginaire nous entraîne au cœur d’une création qui n’a qu’un but : protéger la Terre en célébrant la vie dans toutes ses différences.
Cherchez l’artiste
On connaît l’appétence d’Hitchcock pour le caméo, c’est-à-dire l’art d’apparaître furtivement dans ses propres productions. Mais cette pratique a un long passé pictural, comme le raconte l’historien et romancier Pascal Bonafoux dans un ouvrage érudit et jubilatoire, Autoportraits cachés. Zoom avant, de la Renaissance au XXe siècle.
Les mondes infiniment petits et immenses de Sarah Sze
Jouant avec les échelles, de la vaste trajectoire du soleil jusqu’à la vie cellulaire observée au microscope, l’artiste américaine investit la fondation Cartier avec deux installations spectaculaires. Où elle encapsule notre petite planète à la manière d’un univers en suspension et à fragmentation.