Stuttgart et John Cranko

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Giselle à l’Opéra de Nice, la force des femmes

Il y a cinquante ans mourrait le chorégraphe John Cranko, directeur du Ballet de Stuttgart. La compagnie que le critique de danse Clive Barnes avait rebaptisée “The Stuttgart Ballet Miracle” perdait ainsi son guide et son phare. Comme le démontre la saison en cours, consacrée à son “père fondateur”, l’approche artistique et personnelle de Cranko résonne encore et continue d’exercer son influence sur le Ballet de Stuttgart. Une troupe qui, en même temps, se tourne résolument vers l’avenir

Balletto di Roma

Le Lac de Noureev, le retour