La brève excitation médiatique pour le “cas Polounine” (le jeune danseur qui a quitté à l’improviste le Royal Ballet de Londres et a disparu de manière romanesque pendant quelque temps), a ravivé l’intérêt pour les jeunes étoiles masculines du ballet de nos jours. On sait qu’aujourd’hui les danseurs se disputent le statut de stars avec leurs collègues danseuses. Et, dans le monde actuel de la danse riche en danseuses et danseurs excellents mais dépourvu de véritables stars, l’égalité est assurée. Le public admire ces garçons ambitieux et ils s’organisent pour l’amuser dans des “galas” au masculin. On illustre ici quelques phénomènes récents à Londres et à New York, mais avec des danseurs désormais bien connus aussi en Europe.
Numéro 229
Garçons qui bougent
                      
                              par Clement Crisp
                                                      
                    
      Critique - La Bayadère revient à l’Opéra (… et au cinéma)
                      
                              par Sonia Schoonejans
                                                      
                    
        
      Critique - Robbins et Ek à Paris
                      
                              par Sonia Schoonejans
                                                      
                    
        
      Critique - Quatre pionniers de la danse américaine à Rome
                      
                              par Donatella Bertozzi
                                                      
                    
        
      Tourments et joies chez Balanchine
                      
                              par Alfio Agostini
                                                      
                    
        
      Nina Ananiashvili, 30 ans de danse
                      
                              par Erik Aschengreen
                                                      
                    
        
      Cinéma - Quand le ballet est cinématographique
                      
                              par Cristiano Merlo