Georges Didi-Huberman

Au Drawing Lab (11 oct. 2024-5 janv. 2025) à Paris, et à la Friche la Belle de Mai (biennale Chroniques, 7 nov. 2024-15 janv. 2025) à Marseille, Boris Labbé présente Ito Meikyū, nouveau projet entre cinéma d’animation, réalité virtuelle et installation. Portrait d’un artiste à part.

Le Grand Palais rénové présente Chiharu Shiota. The Soul Trembles (Les frémissements de l’âme), en avant-première de la réouverture de ses galeries d’exposition en juin prochain. Jusqu’au 19 mars 2025, la parabole artistique de l’artiste y est à parcourir à l’occasion de sa première grande rétrospective en France, qui retrace près de 30 ans de carrière.

C’est en chantant que les Chats (ou ceux qui frappent et ceux qui sont frappés) du joyeux duo Jonathan Drillet et Marlène Saldana réfléchissent à de désirables futurs au Théâtre national de Chaillot, à Paris, du 7 au 11 janvier 2025. Dans une scénographie de Théo Mercier, le rêve d’une meilleure félinosphère, entre la comédie musicale Cats et le kabuki japonais : miaou waouh !

Expositions, livres et festivals de photographie font aujourd’hui une large place à la forêt sous toutes ses formes. Convient-il d’appréhender cette tendance comme une simple façon d’enfourcher un sujet d’actualité, de surfer sur une préoccupation généralisée pour l’environnement et le climat, en écho à une anxiété entretenue par les médias ? Je ne le crois pas : la forêt absorbe et captive, hors de tout effet de mode, dans la mesure où elle cristallise une large palette de problémtiques touchant tant à l’exercice de la photographie (dans ses aspects optiques, mais aussi chimiques) qu’à des interrogations de nature existentielle, anthropologique, historique ou politique

Depuis Women Artists: 1550-1950, organisée en 1976-77, les expositions d’artistes femmes se sont multipliées à un rythme qui s’est accéléré ces dernières années. Comment interpréter ce phénomène qui peut susciter des réserves, y compris auprès des artistes femmes et des critiques féministes ? Éléments de réponse avec l’historienne de l’art et commissaire d’exposition Dorothée Dupuis.

Il est étroit mais il existe, il est même, toute proportion gardée, relativement accessible : le marché de l’architecture moderne et contemporaine. L’agence Architecture de collection s’en est fait une spécialité qui permet à des amateurs de vivre dans des maisons et des appartements conçus par des architectes majeurs.