Numéro 9

Fabien Mérelle

par Axelle Delorme

Fabien Mérelle est né en 1981, il vit et travaille actuellement entre Paris et Tours. Diplômé des Beaux-Arts de Paris en 2006, il est également ancien pensionnaire de la Casa Velázquez à Madrid, et se spécialise dans le dessin contemporain. Depuis quelques années, il expérimente également l’installation en volume, en suivant les mêmes recherches esthétiques que celles mises en œuvre dans le dessin, sur la question du réalisme et de la métaphore, de l’autoportrait et plus largement, de la condition humaine.

Anton Hirschfeld

par François Beauxis-Aussalet

Anton Hirschfeld, peintre, est né en 1992 à Paris. Le Voyage d’Anton, le documentaire réalisé par sa mère, retrace son parcours depuis l’enfance et offre un regard profondément émouvant sur un artiste exceptionnel au parcours singulier, né avec un handicap mental. Mariana Loupan est née en URSS. Elle arrive en France à l’âge de 20 ans. Après une maîtrise de lettres modernes, elle travaille dans l’audiovisuel public, dans le domaine du documentaire (FR3, Arte, France Culture), fonde une maison de production, anime l’Institut Andrei Tarkovski, puis s’investit dans le domaine de l’éducation spécialisée. Elle écrit Le Voyage d’Anton en 2003 puis réalise le film éponyme vingt ans plus tard.

Jean-François Hubert

par Kim Chi Pho

Un jour de chance, pendant que j’arpentais les expositions et les maisons de vente à la recherche de chefs-d’œuvre ainsi que de nouveaux talents, je tombe nez à nez avec une personnalité très discrète que je suis sur les réseaux sociaux depuis des décennies. Voici le portrait de Jean-François Hubert, l’expert renommé en art du Vietnam.

Jason Gardner

par Rachel Hardouin

« Je crée des images pour rendre compte des traditions ancestrales »

Hugo Bel

par Virginie Beauvais

Le passeur d’art

Alena Kuznetsova

par Iryna Belan

Alena Kuznetsova est née en 1986 dans la ville d’Arkhangelsk. Elle a étudié à l’école d’art pour enfants de Svetlovodsk, région de Kropivnitsa, de 1996 à 2001 et a fait des études supérieures complètes dans la spécialité «Beaux-Arts» (KNUSA, 2008). Elle travaille dans le genre de la peinture non objective et étudie la couleur de 2007 à ce jour. Alena vit et travaille à Kyiv. Ses œuvres se trouvent dans des collections privées en Ukraine et à l’étranger.

Dasha Art

par Eduardo Pérez Viloria

Née en Biélorussie, Dasha Art cherche, à travers son travail, à inspirer les autres à voir le monde avec un nouveau regard et à apprécier la beauté sous toutes ses formes. Sa philosophie est simple, mais puissante : chaque image a le potentiel de raconter une histoire unique et émouvante. Dasha non seulement capture des moments, mais les transforme en œuvres d’art intemporelles qui transcendent le temps et l’espace. Sa passion pour la photographie et sa capacité à transmettre des émotions à travers ses images font d’elle une force imparable dans le monde des arts visuels.

Margherita Lipinska

par Filly di Somma

Archéologue de l’art

Alexandra Oza

par Alexandre Ortiz Hervias

La composition des photographies d’Alexandra est à son image, duale. Ukrainienne de naissance, Alexandra arrive à Paris autour de la vingtaine pour poursuivre sa carrière d’artiste. L’âme de ses paysages intemporels est baignée d’un désir d’ailleurs. Cette introspection nourrie de voyages est exprimée par un processus particulier : Alexandra prend trente-six photos dans un lieu puis réutilise le même négatif à l’autre bout du monde. Cette superposition pleine de paradoxes, brute et sans postproduction, tisse des liens invisibles entre des éléments dont l’âme se révèle à la lumière des contrastes.

Beňat Picabea

par Shantala Lescot

Entre ombres et lumières : les portraits de l’invisible

Jessica Pliez

par Paul Escudier

Entre portraits photographiques et ours à deux têtes, Jessica Pliez (née en 1984) est une artiste plasticienne qui jongle sur un éventail de techniques : pointe de crayons, chimie révélatrice et papier argentique, papier coton, peintures et encres, à l’acrylique ou à l’huile. Dans son laboratoire, elle explore les terreurs de l’enfance, les bestiaires païens, les portraits d’humains, à coups de gouge ou de stylo bille, sur plaque de cuivre, de linoléum ou de gomme, peu importe le support trouvé ou élaboré. Le monde qu’elle nous présente est fait de morceaux de cœurs, de chairs recousues qui se poignardent et s’entrelacent dans un univers ciselé de détails entre la douceur et l’horreur. Tout est en mouvement, tout y palpite dans ces corps entre vie et mort.